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Baroque Song
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Baroque Song
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Liste des titres
1 | I. Vivacissimo |
2 | II. Andante |
3 | III. Allegro Molto Energico |
4 | I. Andante |
5 | II. Poco Meno Mosso |
6 | III. Poco Piu Mosso |
7 | Erinnerung, Pour Orchestre a Cordes |
8 | I. Les Geoles |
9 | II. Machinerie Humaine |
10 | III. Le Reve |
11 | IV. L'attente |
12 | V. Imploration |
13 | VI. Bacchanale De La Mort |
Description du produit
Description du produit
Auteur de plus de cent vingt pièces, Thierry Escaich s’impose comme l’une des figures les plus marquantes de la création musicale actuelle. Au répertoire de formations comme l’Orchestre de Paris, l’Orchestre philharmonique de New York ou l’Orchestre du Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, ses œuvres sont régulièrement interprétées par les plus grands artistes de la scène musicale.
Sa carrière de créateur est indissociable de son activité d’organiste, qui l’amène à être l’un des principaux ambassadeurs de l’école d’improvisation française à travers le monde. Successeur de Maurice Duruflé à l’orgue de l’église Saint-Étienne-du-Mont à Paris, il est aujourd’hui professeur au Conservatoire National Supérieur de Paris.
Il est par ailleurs membre de l’Académie des Beaux-Arts depuis mars 2013.
En février 2017, il remporte une « Victoire de la Musique Classique » dans la catégorie compositeur de l’année !
Critique
Wer den eminenten Organisten Thierry Escaich als Komponisten kennenlernen will, hat auf dieser Neuveröffentlichung Gelegenheit dazu. […] Escaich erweist sich als ausdrucksstarker Konstrukteur und klangsinnlicher Instrumentator. --neue musikzeitung 02.05.17
Détails sur le produit
- Dimensions du produit (L x l x h) : 14.2 x 12.6 x 1.3 cm; 110 grammes
- Fabricant : Sony Classical
- Date de sortie d'origine : 2017
- Label : Sony Classical
- ASIN : B06XTQDHRK
- Nombre de disques : 1
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 82,575 en CD et Vinyles (Voir les 100 premiers en CD et Vinyles)
- 2,929 en Musique symphonique
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Des amis m’ont dit un jour que j’avais un préjugé défavorable à l'égard de ce compositeur, sans avoir vraiment écouté ses compositions. J’ai en tout cas acheté, écouté et réécouté ce disque.
« Baroque song », trois parties, vif-lent-vif, comme dans la Suite en fa d’Albert Roussel, s’écoute sans déplaisir, mais sans passion. Les réminiscences des musiques des années trente se succèdent. A aucun moment, quelque chose ne vient donner une envie particulière d’y revenir.
Avec le concerto pour clarinette, on descend plusieurs marches. Une ritournelle y est répétée ad nauseam, les arabesques du soliste ne font pas vraiment sens. On plaint ce soliste, rien moins que Paul Meyer, d’avoir à jouer quelque chose d’aussi vain (si le sens de l’adjectif « vain » n’est pas clair, écoutons Charles Trenet dans « Le jardin extraordinaire » : ce n’était certes pas vain).
Erinnerung, qui ne commence pas mal, aligne ensuite un grand nombre des poncifs de la musique pour ensemble de cordes accumulés depuis Bernard Herrmann et Psychose.
La suite de l’opéra Claude (d’après Hugo, livret de Robert Badinter, création à l’Opéra de Lyon) a pour elle une orchestration colorée. Sans être subjugué, reconnaissons que c’est de loin ce qui est le mieux venu dans cet ensemble.
L’orchestre de l’Opéra de Lyon fait vraiment tout le possible et on regrette d’avoir des réserves sur une production émanant d’une si excellente maison, à la réputation internationalement établie, et qui fait honneur à la vie musicale et artistique de l’Hexagone.
Dans la notice Thierry Escaich évoque « ce fil indissoluble qui nous relie au passé et qu’il serait vain de vouloir rompre ». A supposer qu’on partage sa vision de l’histoire, encore faudrait-il que le tissage de ce fil en soit poursuivi d’une manière qui ne nous fasse pas regretter l’inventivité des compositeurs de la veille. On peine à croire que ces œuvres puissent susciter l’enthousiasme à l’égard de la musique d’ aujourd’hui.
Erinnerung s'appuie sur des thèmes de la Waldstein de Beethoven mais l'orchestre à cordes très tendu évoque d'abord Bartok. Le sommet du disque à mon sens est atteint par la suite symphonique de "Claude" avec ses atmosphères en suspension, ses hallucinations et ses convulsions sans rémission portés par la présence gothique de l'orgue.
Les oeuvres sont supérieurement mises en évidence par la direction très cursive de Bloch.
« Je ne me suis jamais demandé : dans quel style vais-je écrire ? On ne fabrique pas son univers : on l'a ou on ne l'a pas... Je veux aller au bout de mes luttes, sans souci de vouloir être original » (Thierry Escaich).