Claude Cognard

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À propos de Claude Cognard
Claude COGNARD est né à Feurs près de St Etienne en 1953. Jeune, il se passionne pour l'écriture. Son intérêt pour la langue de Shakespeare le conduit à quitter la France pour Brighton. De formation traducteur, il passe les Diplômes de Cambridge et de la "Royal Society of Arts". Diplôme d'Honneur Centre International des Arts et Lettres. Sociétaire de la Société des Gens de Lettres, sociétaire de la Sofia, membre de la SACD.
Il est auteur de nombreux romans,
dont le dernier Facebook love, éditions Apopsix, connaît un succès croissant,
VOIR : http://livre.fnac.com/a4012560/Claude-Cognard-Facebook-love-une-nouvelle-facon-d-aimer
il écrit pour le théâtre.
Collaboration à l'écriture : avec Dimi de Delphes, Jo Salvi, Virginie Kartner, Sandrine Mansell, Flora Meunier.
Son Agent : Pierre Blanchot. Agent et Artistes.
Sensible à l'injustice et à la violence, fort de ses 5000 amis Facebookiens, il se spécialise dans l'écriture sur la Perversion Narcissique, et contre l'injustice et la violence faites aux femmes.
Facebook love, une nouvelle façon d'aimer. Éditions Apopxis, Paris, 2012
http://livre.fnac.com/a4012560/Claude-Cognard-Facebook-love-une-nouvelle-facon-d-aimer
Universal Spirit, Éditions Patrick Durand-Peyroles, Burneaux 2011,
Tu es trop vieux, Éditions Patrick Durand-Peyroles, Burneaux 2010,
Claire, le malheur te va si bien. Éditions Patrick Durand-Peyroles. Burneaux 2009, théâtre.
Six femmes pour un homme. Éditions Zinedi - FG communication. Paris 2007.
Sexe, magouilles et harcèlements - Roman. Amazon Saint-Etienne 2012
I was 9 when I committed suicide. Amazon Saint-Etienne 2012. Anglais.
Deux anges en Enfer - Théâtre. Amazon Saint-Etienne 2012.
Sur la route de Jérusalem - Roman. Amazon Saint-Etienne 2012
Quinqua Kleenex - Pitié pour les Anciens - Roman. Amazon Saint-Etienne
La Ménopause Des Sentiments,Théâtre. Amazon Saint-Etienne 2012,
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Mises à jour de l'auteur
Livres de Claude Cognard
Alexandre, patron d'une grande bijouterie, vient d'embaucher Maud comme vendeuse. Plus qu'à son savoir-faire, c'est à son physique de mannequin qu'Alexandre s'est attaché pour effectuer l'embauche de la jeune femme. Alexandre est considéré comme un coureur par ses vendeuses, et c'est vrai qu'il les aime les femmes ! Un soir, après la fermeture, Maud doit aider son patron à ajuster les comptes de la boutique. Apparemment, prête à tout pour le séduire, elle profite de cet instant privilégié pour exprimer des désirs absolument extravagants. Mais l'arrivée impromptue d'Alice, une autre vendeuse, puis de Pauline, l'épouse jalouse, va donner une tout autre tournure à leur tête-à-tête.
Le lendemain, après une séance de formation rocambolesque, et la première vente, on ne peut plus abracadabrante, de Maud, le voile va se déchirer sur les réelles motivations de cette dernière et sur le secret qu'elle détient concernant Alexandre.
Un après-midi, lors d’un passage impromptu dans une des écoles qu’elle supervise, Charline rencontre une nouvelle recrue, Alexia Pivert, une quadra, chômeuse de longue durée, quelque peu mystérieuse, qui se présente comme l’amie d’enfance de Frédéric, le mari de Charline.
Alexia rêve de retrouver son camarade Frédéric. Charline lui propose de boire un verre chez elle, après le travail, pour Rencontrer Fred. Très vite les propos que tient Alexia se révèlent déstabilisants
La solitude et l’alcool l’amène à faire l’analyse d’une situation sentimentale qui le dépasse, mais qui peu à peu, le conduit à admettre que c’est lui seul, qui n’a pas répondu présent à l’amour. Dehors, il neige de plus en plus, il n’y aucun réseau téléphonique, et lorsque l’avalanche recouvre le refuge, on peut y voir une objectivation de son propre effondrement intérieur.
En désespoir de causes, il essaie de composer le 18, et miracle, il entend le message d’un répondeur : C’est la voix de Marie.
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Ce roman est une fiction, une fiction scénarisée.
Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé, toute ressemblance dans les faits ou dans les mots seraient une coïncidence.
À chacun son idée du pervers narcissique…
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Nous possédons tous un peu de perversité, nous possédons tous des travers narcissiques et nous ne sommes pas tous, des pervers narcissiques.
La perversité correspondrait au plaisir éprouvé par un homme ou une femme lorsque il ou elle provoque de la souffrance d’autrui. Alors bon, si je réfléchis, mon percepteur est un pervers, puisque il se réjouit de prélever mensuellement une partie de mes revenus, alors que j’ai du mal pour joindre les deux bouts.
Plaisanterie mise à part, nous sommes d’accord que par pervers narcissique, nous désignons celui ou de celle qui dans entourage agit avec pour objectif non avoué de trouver du plaisir dans la souffrance qu’il nous voit éprouver et d'en sortir grandi, avec un plumage plus brillant et récolter louanges et marques de reconnaissance ou autres avantages occultes et sans limites.
Injustement condamnée, Laura en cavale, cagoulée et armée, fait irruption dans la bijouterie de Cindy, son ex complice qu’elle retient en otage. Dans un premier temps, elle ne lui montre pas son visage, et au fil de la conversation, elle découvre que Cindy, non seulement la prend pour une idiote, mais qu’elle la voit aussi comme une homo, incapable d’être mère. Laura, fait remarquer à Cindy, que celles qui ont plus de difficultés avec les gays refoulent leurs propres pulsions homosexuelles. Après une nuit passée ensemble, Cindy se retrouve seule dans la bijouterie, en nuisette, menottée à un radiateur sur lequel, se trouve une boîte de préservatif. Laura surgit, elle est allée chercher des croissants et des fleurs et elle l’appelle ma chérie. Pour Cindy, c’est insupportable.
En accrochant nos phantasmes, nos désirs, nos envies sur des symboles, nous leur donnons une dimension illimitée, une réalité qui nous nourrit au plus profond de nous-mêmes. David poursuit son questionnement. Et si Alina, n'était qu'un support de son idéal de femme ? Un portemanteau sur lequel, lui David, suspendrait ses visions les plus nobles de la femme... Il serait obligé d'admettre qu'Alina ne serait qu'un support, que le miroir d'une représentation qui n'appartiendrait à personne d'autre qu'à lui-même ? Il serait obligé d'admettre que l'amour éprouvé, à travers l'écran, serait l'amour de cette idée, de cette vision, de ce fantasme. Finalement, de qui tombons-nous amoureux lorsque nous croisons l'être brusquement si précieux ? Et si ce n'était encore que de nous-mêmes, et si ce n'était que nos idéaux, de nos certitudes de croiser chez notre partenaire, l'être le plus parfait, celui qui nous ressemblerait enfin ?
De son balcon, où elle étend son linge, Louise dialogue avec ses voisines, Maria et Isabella. Elle évoque les cougars dont le sujet a été traité à la télévision par Sophie Davant.
Son fils n’est pas rentré depuis la veille au soir.
Ce texte avait été écrit spontanément après le licenciement injuste d’un proche.
Après le décès du Président et fondateur de l'entreprise, Christian Machin embauché 20 ans plus tôt se retrouve face à Duvallier et Colette Legras son adjointe, nouvellement recrutés pour superviser la chaîne des magasins. Ce duo souhaite débarrasser l’entreprise des cadres les plus anciens, donc les plus coûteux. Pour réduire les frais de licenciement, Duvallier évoque l’insuffisance professionnelle alors que Colette Legras son adjointe, explique que tout le monde commet une faute dans sa vie professionnelle et qu’il suffit d’être patient et vigilant pour trouver l’instant idéal qui permettra d’évoquer une faute lourde.
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