Superbe film, un huis clos qui joue beaucoup sur la psychologie.
Finalement très en phase avec notre actualité, il laisse à réfléchir et nous ouvre l'esprit sur un futur qui pourrait être très proche.
Je n'en dis pas plus, je vous laisse la surprise c'est un film à voir avec votre cerveau
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Ex Machina
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Genre | Science Fiction |
Format | PAL |
Contributeur | Alex Garland, Claire Selby, Gana Bayarsaikhan, Corey Johnson, Alicia Vikander, Sonoya Mizuno, Tiffany Pisani, Domhnall Gleeson, Symara A. Templeman, Oscar Isaac, Elina Alminas Voir plus |
Langue | Allemand, Français, Anglais, Espagnol, Turc, Italien |
Durée d’exécution | 1 heure et 44 minutes |
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Détails sur le produit
- Rapport de forme : 2.40:1
- Dimensions du colis : 19 x 13.6 x 1.4 cm; 60 grammes
- Réalisateur : Alex Garland
- Format : PAL
- Durée : 1 heure et 44 minutes
- Date de sortie : 6 octobre 2015
- Acteurs : Domhnall Gleeson, Oscar Isaac, Alicia Vikander, Corey Johnson, Sonoya Mizuno
- Doublé : : Allemand, Anglais, Espagnol, Français, Italien, Turc
- Sous-titres : : Français, Suédois, Finnois, Danois, Portugais, Norvégien, Hindi, Néerlandais, Espagnol, Allemand, Islandais, Arabe, Italien, Turc
- Langue : Italien (Dolby Digital 5.1), Allemand (Dolby Digital 5.1), Anglais (Dolby Digital 5.1), Turc (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1), Espagnol (Dolby Digital 5.1)
- Studio : Universal Pictures France
- ASIN : B010VUFJYK
- Pays d'origine : France
- Nombre de disques : 1
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 7,010 en DVD et Blu-ray (Voir les 100 premiers en DVD et Blu-ray)
- 799 en Science-fiction (DVD et Blu-ray)
- 1,427 en Thriller
- 2,250 en Drame et émotion
- Commentaires client :
Commentaires client
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1,0 sur 5 étoiles
Choc sur le boîtier métal ce qui rend l'objet sans intérêt pour le contenant
Commenté en France le 29 octobre 2022
Très déçu de voir que le boîtier métal a un choc ce qui est rédhibitoire pour ce genre d'objet. L'intérêt est d'avoir un bel objet sans défaut
Commenté en France le 29 octobre 2022
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Commenté en France 🇫🇷 le 26 février 2023
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Commenté en France 🇫🇷 le 17 octobre 2015
LE BLU RAY :
C'est magnifique. HD d'une grande subtilité. Alex Garland et son directeur photo Rob Hardy ont opté pour une image à la précision redoutable mais sans le lisse de l'image numérique. L''image offre ici une vraie matière, un velouté d'une grande élégance. Le couleurs chaudes nous enveloppent et la qualité du transfert HD restitue à la perfection l'atmosphère intime et feutrée du film. Les plans extérieurs de nature, montagnes et fjords, resplendissent et l'oeil se perd avec délice dans le niveau de détail ahurissant de ces tableaux. Du grand Art sur le fond et la forme.
LE FILM:
Quand l'intelligence artificielle accèdera à la conscience...
- It is what it is... It's Promethean man.
Avec un budget dix fois inférieur aux récents blockbusters traitant du même sujet ( Avengers 2, Transcendance) Ex Machina, dans un huis-clos hypnotique et suffocant, offre une vraie proposition de SF qui pense. A des années-lumières de la pyrotechnie habituelle. C'est le regard d'un vrai cinéaste qui ordonne l'univers fascinant d'un informaticien de génie, vivant en ermite dans un labo high-tech niché au coeur d'une nature des origines. Une architecture et un décor qui ramène le spectateur à l'essentiel. Une épure idéale pour ce récit qui interroge l'homme et son aspiration à se prendre pour Dieu.
Le sens du cadre, l'équilibre du montage et la musique diffuse et envoûtante de Geoff Barrow, contribuent à accoucher d'un petit miracle. La sensation pour le spectateur d'assister pour la première fois à la naissance d'un robot doué d'intelligence. Et pourtant l'histoire du cinéma regorge de grandes oeuvres sur le sujet, du Metropolis de Fritz Lang à l'A.I de Spielberg en passant par 2001 ou Blade Runner. Le scénariste de 28 Jours plus tard, Sunshine et Never let me go a écrit et réalisé ici un premier film totalement maitrisé.
Dans le rôle du Prométhée de l'ère Facebook et Google, Oscar Isaac. Magnétique à souhait dans l'interprétation du milliardaire Nathan. Digne descendant du titan des origines façonnant l'homme en mélangeant l'eau à la terre, ce néo docteur Frankenstein a donné la vie à une créature totalement envoûtante, loin de l'apparence effrayante du monstre créé Mary Shelley. La flamboyance romantique du récit gothique d'un monstre ramené à la vie dans un éclair de foudre cède la place ici à la froideur techno-numérique de notre monde ou la science triomphante finit par nous éloigner de ce qui fait notre humanité. Une faillite nous préparant inexorablement à l'avènement des machines. Deus ex machina, littéralement "dieu issu de la machine" est à l'origine un mécanisme narratif issu du théâtre antique grec. L'apparition d'une figure divine résolvant une situation désespérée...
Habillée par un design fabuleux, la femme robot profite de l'interprétation fantastique d'Alicia Vikander. Actrice au visage d'ange et au port de danseuse. Ses expressions, sa silhouette et sa manière de se mouvoir sublîment totalement la création d'Alex Garland. Une figure cinématographique immédiatement culte, motif troublant d'une réflexion passionnante sur l'humain et la conscience. Un songe philosophique à l'atmosphère captivante. La première apparition d'Ava délivre ainsi une authentique émotion.
Le personnage de Caleb, jeune programmateur informatique invité à pousser la porte de l'antre du créateur, est un jeune geek solitaire et sensible. C'est lui qui a pour mission de déterminer l'humanité de la machine. L'ensemble du récit se déroule comme un éveil à la conscience en suivant les étapes du test de Turin. Un système de dialogue avec la machine pour déterminer si oui ou non l'intelligence artificielle dispose d'une conscience qui lui est propre.
Dans cet univers où le visiteur-témoin est sans cesse ramené à sa propre solitude, ou le créateur est un être manipulateur, noyant son spleen dans l'alcool, l'intelligence artificielle semble alors combler un vide abyssal. C'est le moment d'évoquer le titre du film, issu de l'expression littéraire "Deus ex machina". Littéralement "dieu issu de la machine" ce procédé ou "mécanisme" narratif issu du théâtre antique grec correspond au moment ou l'intervention d'une figure divine vient résoudre une situation désespérée. Ici, la réalité et la raison d'être de l'espèce humaine semble ici toucher à ses limites. La fin semble proche... à l'image des incessantes coupures de courant. Inutile de spoiler l'intrigue ou le dénouement de ce fascinant cauchemar. Dès les premières minutes, Ex Machina prend la dimension d'une oeuvre prophétique.
- One day the AIs are going to look back on us the same way we look at fossil skeletons on the plains of Africa. An upright ape living in dust with crude language and tools, all set for extinction.
Une date dans l'histoire de la SF.
Également sur le blog Les chroniques ciné de Francisco
C'est magnifique. HD d'une grande subtilité. Alex Garland et son directeur photo Rob Hardy ont opté pour une image à la précision redoutable mais sans le lisse de l'image numérique. L''image offre ici une vraie matière, un velouté d'une grande élégance. Le couleurs chaudes nous enveloppent et la qualité du transfert HD restitue à la perfection l'atmosphère intime et feutrée du film. Les plans extérieurs de nature, montagnes et fjords, resplendissent et l'oeil se perd avec délice dans le niveau de détail ahurissant de ces tableaux. Du grand Art sur le fond et la forme.
LE FILM:
Quand l'intelligence artificielle accèdera à la conscience...
- It is what it is... It's Promethean man.
Avec un budget dix fois inférieur aux récents blockbusters traitant du même sujet ( Avengers 2, Transcendance) Ex Machina, dans un huis-clos hypnotique et suffocant, offre une vraie proposition de SF qui pense. A des années-lumières de la pyrotechnie habituelle. C'est le regard d'un vrai cinéaste qui ordonne l'univers fascinant d'un informaticien de génie, vivant en ermite dans un labo high-tech niché au coeur d'une nature des origines. Une architecture et un décor qui ramène le spectateur à l'essentiel. Une épure idéale pour ce récit qui interroge l'homme et son aspiration à se prendre pour Dieu.
Le sens du cadre, l'équilibre du montage et la musique diffuse et envoûtante de Geoff Barrow, contribuent à accoucher d'un petit miracle. La sensation pour le spectateur d'assister pour la première fois à la naissance d'un robot doué d'intelligence. Et pourtant l'histoire du cinéma regorge de grandes oeuvres sur le sujet, du Metropolis de Fritz Lang à l'A.I de Spielberg en passant par 2001 ou Blade Runner. Le scénariste de 28 Jours plus tard, Sunshine et Never let me go a écrit et réalisé ici un premier film totalement maitrisé.
Dans le rôle du Prométhée de l'ère Facebook et Google, Oscar Isaac. Magnétique à souhait dans l'interprétation du milliardaire Nathan. Digne descendant du titan des origines façonnant l'homme en mélangeant l'eau à la terre, ce néo docteur Frankenstein a donné la vie à une créature totalement envoûtante, loin de l'apparence effrayante du monstre créé Mary Shelley. La flamboyance romantique du récit gothique d'un monstre ramené à la vie dans un éclair de foudre cède la place ici à la froideur techno-numérique de notre monde ou la science triomphante finit par nous éloigner de ce qui fait notre humanité. Une faillite nous préparant inexorablement à l'avènement des machines. Deus ex machina, littéralement "dieu issu de la machine" est à l'origine un mécanisme narratif issu du théâtre antique grec. L'apparition d'une figure divine résolvant une situation désespérée...
Habillée par un design fabuleux, la femme robot profite de l'interprétation fantastique d'Alicia Vikander. Actrice au visage d'ange et au port de danseuse. Ses expressions, sa silhouette et sa manière de se mouvoir sublîment totalement la création d'Alex Garland. Une figure cinématographique immédiatement culte, motif troublant d'une réflexion passionnante sur l'humain et la conscience. Un songe philosophique à l'atmosphère captivante. La première apparition d'Ava délivre ainsi une authentique émotion.
Le personnage de Caleb, jeune programmateur informatique invité à pousser la porte de l'antre du créateur, est un jeune geek solitaire et sensible. C'est lui qui a pour mission de déterminer l'humanité de la machine. L'ensemble du récit se déroule comme un éveil à la conscience en suivant les étapes du test de Turin. Un système de dialogue avec la machine pour déterminer si oui ou non l'intelligence artificielle dispose d'une conscience qui lui est propre.
Dans cet univers où le visiteur-témoin est sans cesse ramené à sa propre solitude, ou le créateur est un être manipulateur, noyant son spleen dans l'alcool, l'intelligence artificielle semble alors combler un vide abyssal. C'est le moment d'évoquer le titre du film, issu de l'expression littéraire "Deus ex machina". Littéralement "dieu issu de la machine" ce procédé ou "mécanisme" narratif issu du théâtre antique grec correspond au moment ou l'intervention d'une figure divine vient résoudre une situation désespérée. Ici, la réalité et la raison d'être de l'espèce humaine semble ici toucher à ses limites. La fin semble proche... à l'image des incessantes coupures de courant. Inutile de spoiler l'intrigue ou le dénouement de ce fascinant cauchemar. Dès les premières minutes, Ex Machina prend la dimension d'une oeuvre prophétique.
- One day the AIs are going to look back on us the same way we look at fossil skeletons on the plains of Africa. An upright ape living in dust with crude language and tools, all set for extinction.
Une date dans l'histoire de la SF.
Également sur le blog Les chroniques ciné de Francisco
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TESTEURS VINE (CLUB DES TESTEURS)
Test effectué le 12 octobre 2015 sur videoprojecteur JVC DLA X35 3D Blanc, écran lumene diagonale 2.70 m, ensemble 5.1 Bowers & Wilking, double subwoofer Velodine CHT -10 Q, platine Blue Ray 3D Pioneer BDP - LX54, ampli Yamaha RX - V1067.
1) Le Blue Ray :
SteelBook stylé, blanc clinique, frappé d'un buste androïde, crédible sur le plan technologique. Pas de chichi, comme le film.
L'action, essentiellement en huis clos, ne sollicite guère les enceintes latérales, sauf dans les scènes de nature, très immersives.
Image stable, parfaite, même en faible luminosité.
Les bonus se résument à cinq featurettes, trop succinctes au regard de la profondeur du propos du film.
2) Le film :
Ni artifices, ni détours. En quatre minutes, deux scènes, nous sommes au cœur de l'intrigue.
Un jeune codeur (Domhnall Gleeson) , parmi les meilleurs de Blue Note (allusion transparente à Google ou Facebook), gagne le privilège de passer une semaine dans la résidence ultra secrète du P-DG - gourou, Alex Garland.
Puissamment interprété par Oscar Isaac, le tycoon lui réserve un accueil mêlant habilement familiarité, pression et manipulation psychologiques, dans le décor glaçant de sa résidence-forteresse perdue au milieu des montagnes et des forêts, avant de lui révéler qu'il sera le premier cobaye du test de Turing : le dialogue entre l'humain et la véritable intelligence artificielle.
Dans ce décor high tech où se mêlent minéral et végétal, inerte et vivant, s'engage une série d'entretiens entre le jeune homme aux airs godiches et Ava, une créature cybernétique aux rouages apparents, à laquelle seul le visage délicat confère un semblant d'humanité (incarnée avec grâce et pudeur par l'ex ballerine Alicia Vikander).
Séparés par une glace portant la marque d'une brisure (qui témoigne d'une récente rébellion), l'homme et la machine deviennent rapidement complices et découvrent les dessous du projet de Garland.
Ces scènes sont entrecoupées d'échanges fascinants entre le génial concepteur et son employé, devant une toile de Jackson Pollock ou au bord d'une cascade. Les interrogations fusent : un jeu d'échecs électronique a t'il conscience de ce que sont les échecs, de ce qu'est le jeu et de ses enjeux ? Quelle différence entre conscience et simulation de conscience ? Nature du libre arbitre.
Dépassé par sa propre création, Alex conclue avec une froide lucidité à la fin de l'âge de L'Homme et l'avènement de la Machine. La question n'est ni comment, ni pourquoi... mais quand.
Ex Machina constitue une nouvelle mise en garde contre les dangers de l'intelligence artificielle. Le propos fait écho à l'alerte récemment lancée par Stephen Hawking qui mérite d'être lue et méditée.
Le constat est établi depuis la nuit des temps : du livre de la Genèse, au mythe du Golem, de la créature de Frankenstein à Blade Runner, Terminator, AniMatrix et l'exceptionnelle série Real Human : la créature échappe toujours à son Créateur.
"Dieu est mort" disait Nietzsche. L'Humain est le prochain sur la liste. On ne pourra pas dire que nous n'avons pas été alertés.
1) Le Blue Ray :
SteelBook stylé, blanc clinique, frappé d'un buste androïde, crédible sur le plan technologique. Pas de chichi, comme le film.
L'action, essentiellement en huis clos, ne sollicite guère les enceintes latérales, sauf dans les scènes de nature, très immersives.
Image stable, parfaite, même en faible luminosité.
Les bonus se résument à cinq featurettes, trop succinctes au regard de la profondeur du propos du film.
2) Le film :
Ni artifices, ni détours. En quatre minutes, deux scènes, nous sommes au cœur de l'intrigue.
Un jeune codeur (Domhnall Gleeson) , parmi les meilleurs de Blue Note (allusion transparente à Google ou Facebook), gagne le privilège de passer une semaine dans la résidence ultra secrète du P-DG - gourou, Alex Garland.
Puissamment interprété par Oscar Isaac, le tycoon lui réserve un accueil mêlant habilement familiarité, pression et manipulation psychologiques, dans le décor glaçant de sa résidence-forteresse perdue au milieu des montagnes et des forêts, avant de lui révéler qu'il sera le premier cobaye du test de Turing : le dialogue entre l'humain et la véritable intelligence artificielle.
Dans ce décor high tech où se mêlent minéral et végétal, inerte et vivant, s'engage une série d'entretiens entre le jeune homme aux airs godiches et Ava, une créature cybernétique aux rouages apparents, à laquelle seul le visage délicat confère un semblant d'humanité (incarnée avec grâce et pudeur par l'ex ballerine Alicia Vikander).
Séparés par une glace portant la marque d'une brisure (qui témoigne d'une récente rébellion), l'homme et la machine deviennent rapidement complices et découvrent les dessous du projet de Garland.
Ces scènes sont entrecoupées d'échanges fascinants entre le génial concepteur et son employé, devant une toile de Jackson Pollock ou au bord d'une cascade. Les interrogations fusent : un jeu d'échecs électronique a t'il conscience de ce que sont les échecs, de ce qu'est le jeu et de ses enjeux ? Quelle différence entre conscience et simulation de conscience ? Nature du libre arbitre.
Dépassé par sa propre création, Alex conclue avec une froide lucidité à la fin de l'âge de L'Homme et l'avènement de la Machine. La question n'est ni comment, ni pourquoi... mais quand.
Ex Machina constitue une nouvelle mise en garde contre les dangers de l'intelligence artificielle. Le propos fait écho à l'alerte récemment lancée par Stephen Hawking qui mérite d'être lue et méditée.
Le constat est établi depuis la nuit des temps : du livre de la Genèse, au mythe du Golem, de la créature de Frankenstein à Blade Runner, Terminator, AniMatrix et l'exceptionnelle série Real Human : la créature échappe toujours à son Créateur.
"Dieu est mort" disait Nietzsche. L'Humain est le prochain sur la liste. On ne pourra pas dire que nous n'avons pas été alertés.
5 personnes ont trouvé cela utile
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Commenté en France 🇫🇷 le 28 novembre 2022
Excellent film de sf certaines séquences restent moins bien traités au niveau de la couleur que sur le br, par contre quel film
Une personne a trouvé cela utile
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Commenté en France 🇫🇷 le 19 août 2022
Reçu sous blister
J'ai essayé 5 minutes et l'image est nikel et le son faut le monter pour bien entendre mais c'est le cas de beaucoup de DVD
J'ai essayé 5 minutes et l'image est nikel et le son faut le monter pour bien entendre mais c'est le cas de beaucoup de DVD
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Commenté en France 🇫🇷 le 8 novembre 2022
Le film est super mais pour une raison inconnue, la qualité d'image (pourtant bluray) est par moment très mauvaise comme si ce disque était une mauvaise copie ou un truc piraté, je n'ai pas ce problème avec mes autres bluray également achetés sur Amazon...
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Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

rbmusicman/and/movie-fan'
4,0 sur 5 étoiles
A SUPERB 4K OFFERING
Commenté au Royaume-Uni 🇬🇧 le 4 août 2021
An unusual sci-fi offering see's 'Caleb (Domhnall Gleeson) an office worker specialising in
High-Tech is told he'd won a competition to spend a week at a private mountain retreat
owned by Nathan (Oscar Isaac)
Upon arrival on the vast estate, he finds the unit to be a high-tech wonderland, everything
seemingly centrally controlled.
Nathan seems a bit of an odd-ball, however, Caleb will soon discover him to be a hugely
talented operator who has created responsive AI's
Caleb will learn he is there to be monitored on his interaction with what appears at first
to be Nathan's pet project Ava -
Alicia Vikander)
Not all is as it seems in this A dramatic turn of events will come to pass.
A gritty tale with adult sequences and strong language at times.
The film seemingly dismissed by some, is in my view very watchable.
The 4k upgrade sometimes stunning. world created by Nathan.
High-Tech is told he'd won a competition to spend a week at a private mountain retreat
owned by Nathan (Oscar Isaac)
Upon arrival on the vast estate, he finds the unit to be a high-tech wonderland, everything
seemingly centrally controlled.
Nathan seems a bit of an odd-ball, however, Caleb will soon discover him to be a hugely
talented operator who has created responsive AI's
Caleb will learn he is there to be monitored on his interaction with what appears at first
to be Nathan's pet project Ava -
Alicia Vikander)
Not all is as it seems in this A dramatic turn of events will come to pass.
A gritty tale with adult sequences and strong language at times.
The film seemingly dismissed by some, is in my view very watchable.
The 4k upgrade sometimes stunning. world created by Nathan.

Raymond
1,0 sur 5 étoiles
4K UHD disc skips repeatedly from 45 min mark on PS5.
Commenté au Royaume-Uni 🇬🇧 le 5 juin 2021
As written elsewhere on AV forums the UHD disk is badly authored and playback skips on several UHD player including PS5. Disc itself shows no sign of damage... suspect bad encode or authoring at the mastering stage. Extremely disapointing.

Doktor von Pain
4,0 sur 5 étoiles
Kühler und gelungener Sci-Fi-Thriller
Commenté en Allemagne 🇩🇪 le 16 mai 2018
Der Programmierer Caleb (Domhnall Gleeson) gewinnt einen mehrtägigen Besuch bei Nathan (Oscar Isaac), dem Gründer der Firma, bei dem Caleb arbeitet. Der exzentrische Nathan lebt abgeschieden in einem äußerst ungewöhnlich konstruierten sowie gut gesicherten Gebäude und hat schon in jungen Jahren die mittlerweile marktführende Internet-Suchmaschine "Bluebook" entwickelt. Bereits kurz nach seiner Ankunft wird Caleb klar, dass er keineswegs irgendein Gewinner, sondern vielmehr eine Testperson sein soll: Nathan hat eine unglaublich weit entwickelte künstliche Intelligenz geschaffen und diese in einen Androiden namens Ava (Alicia Vikander) übertragen. Nun soll sich Caleb in mehreren Sitzungen mit Ava unterhalten und herausfinden, ob sie wirklich denken und reagieren kann wie ein Mensch. Die Sache wird allerdings schnell unheimlich, oder vielmehr noch unheimlicher als ohnehin schon: Ava beginnt, Caleb auszufragen und erklärt ihm während eines Stromausfalls, bei dem Nathan die beiden scheinbar nicht per Kamera beobachten kann, dass ihr Schöpfer ein Lügner sei, dem man nicht trauen könne...
Ex Machina ist ein britischer Sci-Fi-Thriller von Alex Garland (Drehbuch und Regie) aus dem Jahr 2015. Natürlich ist das Story-Grundgerüst, bei dem es um Maschinen geht, die ein Bewusstsein entwickeln, alles andere als neu. Hier wurde dies allerdings clever inszeniert, der Film ist spannend, hat einen kleinen Story-Twist parat und ist im positiven Sinne unterkühlt. Die Machart und Erzählweise werden bestimmt nicht jeden ansprechen, manch einer wird sicher bemängeln, dass "zu wenig passiert". Das kann man sicher so sehen, doch Ex Machina lebt halt von seinen Untertönen. Auch die Darsteller spielen wirklich toll, wobei ich hier die Rollenverteilung angesichts der neuen Star-Wars-Filme irgendwie amüsant finde: Dort spielt Oscar Isaac den strahlenden Helden Poe, während er in Ex Machina der zwielichtige Typ, beinahe schon der Antagonist ist - und Domhnall Gleeson ist in Ex Machina der Gute, während er in Star Wars den bösen General spielt. Und in Ex Machina finde ich die Rollenverteilung gelungener, aber das nur so am Rande. Auf alle Fälle gefällt mir Ex Machina wirklich gut, auch an der Qualität der Blu-ray gibt es nix zu mäkeln. Wertung: vier Sterne.
Ex Machina ist ein britischer Sci-Fi-Thriller von Alex Garland (Drehbuch und Regie) aus dem Jahr 2015. Natürlich ist das Story-Grundgerüst, bei dem es um Maschinen geht, die ein Bewusstsein entwickeln, alles andere als neu. Hier wurde dies allerdings clever inszeniert, der Film ist spannend, hat einen kleinen Story-Twist parat und ist im positiven Sinne unterkühlt. Die Machart und Erzählweise werden bestimmt nicht jeden ansprechen, manch einer wird sicher bemängeln, dass "zu wenig passiert". Das kann man sicher so sehen, doch Ex Machina lebt halt von seinen Untertönen. Auch die Darsteller spielen wirklich toll, wobei ich hier die Rollenverteilung angesichts der neuen Star-Wars-Filme irgendwie amüsant finde: Dort spielt Oscar Isaac den strahlenden Helden Poe, während er in Ex Machina der zwielichtige Typ, beinahe schon der Antagonist ist - und Domhnall Gleeson ist in Ex Machina der Gute, während er in Star Wars den bösen General spielt. Und in Ex Machina finde ich die Rollenverteilung gelungener, aber das nur so am Rande. Auf alle Fälle gefällt mir Ex Machina wirklich gut, auch an der Qualität der Blu-ray gibt es nix zu mäkeln. Wertung: vier Sterne.

King Abdullah University of Science and Technology
4,0 sur 5 étoiles
Four Stars
Commenté au Royaume-Uni 🇬🇧 le 28 janvier 2018
thanks

Marco Petti
5,0 sur 5 étoiles
EX MACHINA....SIAMO UMANI O INTELLIGENZE ARTIFICIALI ?
Commenté en Italie 🇮🇹 le 8 avril 2022
RECENSIONE:
Claustrofobico e provvisto di una plausibile dose di suspense, Ex Machina si colloca nella rete delle pellicole pretenziose di trattare l’intelligenza artificiale, forse tralasciando che davanti allo schermo vi sono spettatori dotati di un’intelligenza umana e reale, in certi casi apertamente critica e vogliosa di spettacolarità. Al titolo concesso da Alex Garland, che con questo thriller dalle note drammatiche e fantascientifiche sigla il suo esordio alla regia, si crea un triangolo all’interno della storia tra umanità-divinità-artificialità che viene corrotto dalla contaminazione inevitabile tra fili elettrici e sentimenti e l’essere che piomba sulla scena può forse essere paragonato a un dio sì, ma quello del Vecchio Testamento, che freddamente fa fuori buoni e cattivi. La trama ha come protagonista un brillante programmatore di computer, Caleb interpretato da Domhnall Gleeson il quale è l’unico tra gli impiegati dell’ufficio per il quale lavora ad aggiudicarsi la possibilità di trascorrere una settimana presso la residenza del suo capo Nathan interpretato da Oscar Isaac: un posto sperduto dalla morfologia naturalistica apparentemente paradisiaca, che però lascia immediatamente spazio ad un ambiente ipertecnologico ma eccessivamente cupo, sinistro e incastonato di segreti. Nonostante Nathan cerchi, infatti, di mettere a proprio agio il giovane Caleb e abbattere quella linea di demarcazione tra datore e dipendente, il ragazzo rimane basito e incuriosito dalla situazione nella quale si ritrova. A scombinare le carte Ava interpretata da Alicia Vikander: robot dalla fattezze umane interessanti, dotata di un corpo sinuoso e trasparente capace di dare piacere ed emozioni, di un bellissimo volto e soprattutto di una coscienza. Sono tanti i fili che vibrano nel momento in cui Caleb inizia a relazionarsi con Ava, la cui pronuncia si confonde con Eva, per applicare il noto test di Turing. Con la prima donna Ava condivide il desiderio di conoscenza e l’ambizione di uscire fuori dall’Eden ( che in questo caso non è un giardino bellissimo ma una stanza ) per esplorare il mondo e in particolar modo la gente. Al pari di un essere umano si innamora, ha paura di morire e pecca di irriconoscenza.
Ex Machina non è certo il primo film che ci mette dinnanzi alla domanda: se riuscissimo a costruire un robot cosciente, dovremmo conferirgli gli stessi diritti di un essere umano? Nathan sembra non farsi problemi, per lui le donne create in laboratorio sono solo esperimenti, R.A.M. da formattare nel momento in cui subentra un nuovo modello. Entrano in gioco i rapporti tra uomo e macchina, l’inferiorità di genere, lo stereotipo della donna asiatica che è il secondo robot interpretato da Sonoya Mizuno vista unicamente come serva o strumento di divertimento. L’opera prima di Alex Garland ha tutte le carte in regola per stupire e con suoni che piombano al momento giusto, ma priva dell’approfondimento necessario a farla distinguere dal marasma di argomentazioni simili. La visione dell’uomo che sostituisce Dio è una filosofia quasi superata o talmente onnipresente che non ci infastidisce più di tanto; gli spunti sull’arte di Pollock potrebbero rivelarsi interessanti, ma purtroppo vengono lasciati in sospeso: buttati a casaccio tra le sequenze proprio come le vernici industriali che l’artista gettava sulle tele. Traspare un pizzico d’amore e la forza della sopravvivenza e poi, viene spontanea una domanda: qual è la vera esperienza vissuta da Caleb, Nathan e Eva? Quella raccontata attraverso le parole o quella ripresa dalle telecamere a circuito chiuso seminate nell’edificio? Infatti le ambientazioni di Ex Machina predispongono lo spettatore ad un’atmosfera tendenzialmente sospetta. Dopo l’alto contrasto dato dall’iper-tecnologico laboratorio immerso nella natura più pura e silenziosa, il malessere si intensifica con la presentazione degli spazi interni. L’ambiente risulta opprimente, claustrofobico, e contribuisce in modo sostanziale alla creazione della tensione nel film: nel laboratorio non esistono finestre, né porte che si aprano in modo meccanico. Ci sono solo muri, e come presto appare chiaro un semplice calo di elettricità renderebbe i protagonisti eternamente intrappolati in quella fortezza della tecnologia.
Ciò che stupisce nel film è la riuscita ed equilibrata commistione di generi, tra il thriller e il fantascientifico: la tensione non ruba spazio alla coerenza scientifica e, allo stesso modo, la scienza non toglie nulla alla suspense. Raramente in questi film la scienza si è unita ad altri generi determinando un prodotto finale così bilanciato. Comunque il film gioca su una tecnologia quasi esasperata, ultra potenziata, quasi umana. La donna risulta meschina suo malgrado, e assistiamo ad una forte e imposta subalternità del femminile: le donne sono considerate divertimento che esistono solo in funzione del personaggio maschile o come robot da resettare e formattare a piacimento.
Svariate sono dunque le riflessioni sociologiche a cui si potrebbe arrivare, partendo dagli spunti scientifici del film. Al di là di esse, Ex machina risulta un film ben strutturato, in cui le interpretazioni dei tre protagonisti e l’eccellente lavoro sugli effetti speciali arricchiscono una sceneggiatura già notevole. Non è certo questo il primo film a trattare le implicazioni etiche e scientifiche delle intelligenze artificiali, ma Garland affronta il tema in chiave inedita, unendo elementi romantici e suspense, fantascienza e thriller.
CONTENUTI SPECIALI:
Io ho acquistato la versione Blu Ray che vanta del Dolby Digital Master Audio 5.1 e una qualità video ineccepibile. Per quanto riguarda i contenuti speciali troviamo la completa creazione del robot di Ava, un documentario sul Test di Turing, l'intervista al Cast e l'ideazione di tutta la storia.
CONCLUSIONI:
Se siete appassionati di questo genere ve lo consiglio pienamente e guardandolo si avrà una visione agghiacciante dell'intelligenza artificiale del prossimo futuro. E dopo vi porrete la domanda: le macchine prenderanno il sopravvento sul genere umano...lascio a voi la risposta, dopo averlo guardato.
Claustrofobico e provvisto di una plausibile dose di suspense, Ex Machina si colloca nella rete delle pellicole pretenziose di trattare l’intelligenza artificiale, forse tralasciando che davanti allo schermo vi sono spettatori dotati di un’intelligenza umana e reale, in certi casi apertamente critica e vogliosa di spettacolarità. Al titolo concesso da Alex Garland, che con questo thriller dalle note drammatiche e fantascientifiche sigla il suo esordio alla regia, si crea un triangolo all’interno della storia tra umanità-divinità-artificialità che viene corrotto dalla contaminazione inevitabile tra fili elettrici e sentimenti e l’essere che piomba sulla scena può forse essere paragonato a un dio sì, ma quello del Vecchio Testamento, che freddamente fa fuori buoni e cattivi. La trama ha come protagonista un brillante programmatore di computer, Caleb interpretato da Domhnall Gleeson il quale è l’unico tra gli impiegati dell’ufficio per il quale lavora ad aggiudicarsi la possibilità di trascorrere una settimana presso la residenza del suo capo Nathan interpretato da Oscar Isaac: un posto sperduto dalla morfologia naturalistica apparentemente paradisiaca, che però lascia immediatamente spazio ad un ambiente ipertecnologico ma eccessivamente cupo, sinistro e incastonato di segreti. Nonostante Nathan cerchi, infatti, di mettere a proprio agio il giovane Caleb e abbattere quella linea di demarcazione tra datore e dipendente, il ragazzo rimane basito e incuriosito dalla situazione nella quale si ritrova. A scombinare le carte Ava interpretata da Alicia Vikander: robot dalla fattezze umane interessanti, dotata di un corpo sinuoso e trasparente capace di dare piacere ed emozioni, di un bellissimo volto e soprattutto di una coscienza. Sono tanti i fili che vibrano nel momento in cui Caleb inizia a relazionarsi con Ava, la cui pronuncia si confonde con Eva, per applicare il noto test di Turing. Con la prima donna Ava condivide il desiderio di conoscenza e l’ambizione di uscire fuori dall’Eden ( che in questo caso non è un giardino bellissimo ma una stanza ) per esplorare il mondo e in particolar modo la gente. Al pari di un essere umano si innamora, ha paura di morire e pecca di irriconoscenza.
Ex Machina non è certo il primo film che ci mette dinnanzi alla domanda: se riuscissimo a costruire un robot cosciente, dovremmo conferirgli gli stessi diritti di un essere umano? Nathan sembra non farsi problemi, per lui le donne create in laboratorio sono solo esperimenti, R.A.M. da formattare nel momento in cui subentra un nuovo modello. Entrano in gioco i rapporti tra uomo e macchina, l’inferiorità di genere, lo stereotipo della donna asiatica che è il secondo robot interpretato da Sonoya Mizuno vista unicamente come serva o strumento di divertimento. L’opera prima di Alex Garland ha tutte le carte in regola per stupire e con suoni che piombano al momento giusto, ma priva dell’approfondimento necessario a farla distinguere dal marasma di argomentazioni simili. La visione dell’uomo che sostituisce Dio è una filosofia quasi superata o talmente onnipresente che non ci infastidisce più di tanto; gli spunti sull’arte di Pollock potrebbero rivelarsi interessanti, ma purtroppo vengono lasciati in sospeso: buttati a casaccio tra le sequenze proprio come le vernici industriali che l’artista gettava sulle tele. Traspare un pizzico d’amore e la forza della sopravvivenza e poi, viene spontanea una domanda: qual è la vera esperienza vissuta da Caleb, Nathan e Eva? Quella raccontata attraverso le parole o quella ripresa dalle telecamere a circuito chiuso seminate nell’edificio? Infatti le ambientazioni di Ex Machina predispongono lo spettatore ad un’atmosfera tendenzialmente sospetta. Dopo l’alto contrasto dato dall’iper-tecnologico laboratorio immerso nella natura più pura e silenziosa, il malessere si intensifica con la presentazione degli spazi interni. L’ambiente risulta opprimente, claustrofobico, e contribuisce in modo sostanziale alla creazione della tensione nel film: nel laboratorio non esistono finestre, né porte che si aprano in modo meccanico. Ci sono solo muri, e come presto appare chiaro un semplice calo di elettricità renderebbe i protagonisti eternamente intrappolati in quella fortezza della tecnologia.
Ciò che stupisce nel film è la riuscita ed equilibrata commistione di generi, tra il thriller e il fantascientifico: la tensione non ruba spazio alla coerenza scientifica e, allo stesso modo, la scienza non toglie nulla alla suspense. Raramente in questi film la scienza si è unita ad altri generi determinando un prodotto finale così bilanciato. Comunque il film gioca su una tecnologia quasi esasperata, ultra potenziata, quasi umana. La donna risulta meschina suo malgrado, e assistiamo ad una forte e imposta subalternità del femminile: le donne sono considerate divertimento che esistono solo in funzione del personaggio maschile o come robot da resettare e formattare a piacimento.
Svariate sono dunque le riflessioni sociologiche a cui si potrebbe arrivare, partendo dagli spunti scientifici del film. Al di là di esse, Ex machina risulta un film ben strutturato, in cui le interpretazioni dei tre protagonisti e l’eccellente lavoro sugli effetti speciali arricchiscono una sceneggiatura già notevole. Non è certo questo il primo film a trattare le implicazioni etiche e scientifiche delle intelligenze artificiali, ma Garland affronta il tema in chiave inedita, unendo elementi romantici e suspense, fantascienza e thriller.
CONTENUTI SPECIALI:
Io ho acquistato la versione Blu Ray che vanta del Dolby Digital Master Audio 5.1 e una qualità video ineccepibile. Per quanto riguarda i contenuti speciali troviamo la completa creazione del robot di Ava, un documentario sul Test di Turing, l'intervista al Cast e l'ideazione di tutta la storia.
CONCLUSIONI:
Se siete appassionati di questo genere ve lo consiglio pienamente e guardandolo si avrà una visione agghiacciante dell'intelligenza artificiale del prossimo futuro. E dopo vi porrete la domanda: le macchine prenderanno il sopravvento sul genere umano...lascio a voi la risposta, dopo averlo guardato.


Marco Petti
Commenté en Italie 🇮🇹 le 8 avril 2022
Claustrofobico e provvisto di una plausibile dose di suspense, Ex Machina si colloca nella rete delle pellicole pretenziose di trattare l’intelligenza artificiale, forse tralasciando che davanti allo schermo vi sono spettatori dotati di un’intelligenza umana e reale, in certi casi apertamente critica e vogliosa di spettacolarità. Al titolo concesso da Alex Garland, che con questo thriller dalle note drammatiche e fantascientifiche sigla il suo esordio alla regia, si crea un triangolo all’interno della storia tra umanità-divinità-artificialità che viene corrotto dalla contaminazione inevitabile tra fili elettrici e sentimenti e l’essere che piomba sulla scena può forse essere paragonato a un dio sì, ma quello del Vecchio Testamento, che freddamente fa fuori buoni e cattivi. La trama ha come protagonista un brillante programmatore di computer, Caleb interpretato da Domhnall Gleeson il quale è l’unico tra gli impiegati dell’ufficio per il quale lavora ad aggiudicarsi la possibilità di trascorrere una settimana presso la residenza del suo capo Nathan interpretato da Oscar Isaac: un posto sperduto dalla morfologia naturalistica apparentemente paradisiaca, che però lascia immediatamente spazio ad un ambiente ipertecnologico ma eccessivamente cupo, sinistro e incastonato di segreti. Nonostante Nathan cerchi, infatti, di mettere a proprio agio il giovane Caleb e abbattere quella linea di demarcazione tra datore e dipendente, il ragazzo rimane basito e incuriosito dalla situazione nella quale si ritrova. A scombinare le carte Ava interpretata da Alicia Vikander: robot dalla fattezze umane interessanti, dotata di un corpo sinuoso e trasparente capace di dare piacere ed emozioni, di un bellissimo volto e soprattutto di una coscienza. Sono tanti i fili che vibrano nel momento in cui Caleb inizia a relazionarsi con Ava, la cui pronuncia si confonde con Eva, per applicare il noto test di Turing. Con la prima donna Ava condivide il desiderio di conoscenza e l’ambizione di uscire fuori dall’Eden ( che in questo caso non è un giardino bellissimo ma una stanza ) per esplorare il mondo e in particolar modo la gente. Al pari di un essere umano si innamora, ha paura di morire e pecca di irriconoscenza.
Ex Machina non è certo il primo film che ci mette dinnanzi alla domanda: se riuscissimo a costruire un robot cosciente, dovremmo conferirgli gli stessi diritti di un essere umano? Nathan sembra non farsi problemi, per lui le donne create in laboratorio sono solo esperimenti, R.A.M. da formattare nel momento in cui subentra un nuovo modello. Entrano in gioco i rapporti tra uomo e macchina, l’inferiorità di genere, lo stereotipo della donna asiatica che è il secondo robot interpretato da Sonoya Mizuno vista unicamente come serva o strumento di divertimento. L’opera prima di Alex Garland ha tutte le carte in regola per stupire e con suoni che piombano al momento giusto, ma priva dell’approfondimento necessario a farla distinguere dal marasma di argomentazioni simili. La visione dell’uomo che sostituisce Dio è una filosofia quasi superata o talmente onnipresente che non ci infastidisce più di tanto; gli spunti sull’arte di Pollock potrebbero rivelarsi interessanti, ma purtroppo vengono lasciati in sospeso: buttati a casaccio tra le sequenze proprio come le vernici industriali che l’artista gettava sulle tele. Traspare un pizzico d’amore e la forza della sopravvivenza e poi, viene spontanea una domanda: qual è la vera esperienza vissuta da Caleb, Nathan e Eva? Quella raccontata attraverso le parole o quella ripresa dalle telecamere a circuito chiuso seminate nell’edificio? Infatti le ambientazioni di Ex Machina predispongono lo spettatore ad un’atmosfera tendenzialmente sospetta. Dopo l’alto contrasto dato dall’iper-tecnologico laboratorio immerso nella natura più pura e silenziosa, il malessere si intensifica con la presentazione degli spazi interni. L’ambiente risulta opprimente, claustrofobico, e contribuisce in modo sostanziale alla creazione della tensione nel film: nel laboratorio non esistono finestre, né porte che si aprano in modo meccanico. Ci sono solo muri, e come presto appare chiaro un semplice calo di elettricità renderebbe i protagonisti eternamente intrappolati in quella fortezza della tecnologia.
Ciò che stupisce nel film è la riuscita ed equilibrata commistione di generi, tra il thriller e il fantascientifico: la tensione non ruba spazio alla coerenza scientifica e, allo stesso modo, la scienza non toglie nulla alla suspense. Raramente in questi film la scienza si è unita ad altri generi determinando un prodotto finale così bilanciato. Comunque il film gioca su una tecnologia quasi esasperata, ultra potenziata, quasi umana. La donna risulta meschina suo malgrado, e assistiamo ad una forte e imposta subalternità del femminile: le donne sono considerate divertimento che esistono solo in funzione del personaggio maschile o come robot da resettare e formattare a piacimento.
Svariate sono dunque le riflessioni sociologiche a cui si potrebbe arrivare, partendo dagli spunti scientifici del film. Al di là di esse, Ex machina risulta un film ben strutturato, in cui le interpretazioni dei tre protagonisti e l’eccellente lavoro sugli effetti speciali arricchiscono una sceneggiatura già notevole. Non è certo questo il primo film a trattare le implicazioni etiche e scientifiche delle intelligenze artificiali, ma Garland affronta il tema in chiave inedita, unendo elementi romantici e suspense, fantascienza e thriller.
CONTENUTI SPECIALI:
Io ho acquistato la versione Blu Ray che vanta del Dolby Digital Master Audio 5.1 e una qualità video ineccepibile. Per quanto riguarda i contenuti speciali troviamo la completa creazione del robot di Ava, un documentario sul Test di Turing, l'intervista al Cast e l'ideazione di tutta la storia.
CONCLUSIONI:
Se siete appassionati di questo genere ve lo consiglio pienamente e guardandolo si avrà una visione agghiacciante dell'intelligenza artificiale del prossimo futuro. E dopo vi porrete la domanda: le macchine prenderanno il sopravvento sul genere umano...lascio a voi la risposta, dopo averlo guardato.
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