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L'univers élégant Broché – 21 septembre 2000
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Dans la lignée de Patience dans l'azur (Hubert Reeves) et d'Une brève histoire du temps (Stephen Hawking), les plus récentes avancées de la physique contemporaine mises à la portée de tous par l'un de ses plus jeunes et brillants théoriciens
Les physiciens aiment l'élégance, l'économie, la simplicité. Ils rêvent de théories très générales, permettant d'expliquer d'un seul coup le plus de phénomènes possible. Le XXe siècle a vu surgir deux théories de ce type, unanimement considérées comme des monuments de l'intelligence humaine. La première, la relativité, est l'œuvre d'un seul homme, Albert Einstein. La seconde, la mécanique quantique, est l'œuvre collective de certains des plus grands physiciens de tous les temps. La relativité générale offre une explication de la gravité, de la forme de l'Univers à grande échelle. Elle s'intéresse aux très grandes distances, aux très grandes masses. C'est la théorie de la relativité qui prédit l'existence de trous noirs, par exemple. La mécanique quantique décrit l'infiniment petit, les atomes et leurs constituants élémentaires. Ces deux théories sont les plus précises jamais inventées par l'homme. Ainsi, les prédictions de la mécanique quantique sont confirmées par les résultats expérimentaux avec une précision de neuf chiffres après la virgule ! Ce sont ces deux théories qui font de la physique la " reine des sciences ".Mais, comme nous l'avons dit, les physiciens aiment l'élégance, l'économie des moyens. Depuis des décennies, ils ont donc cherché à rassembler la relativité et la mécanique quantique en une " théorie du tout ". Einstein lui-même s'y est essayé – et s'est cassé les dents. Au point que ce rêve d'une théorie ultime est devenu le Graal de la science moderne... Or le problème est grave, car les deux théories semblent être incompatibles entre elles !Aujourd'hui, l'unification de la gravité et de la mécanique quantique est en voie de réalisation : le résultat risque de bouleverser toutes nos conceptions. C'est cette découverte, appelée " théorie des cordes " – et ses conséquences surprenantes –, qui est le sujet de L'Univers élégant.Brian Greene nous offre donc une visite guidée de la physique contemporaine et un aperçu saisissant de ce que sera la physique de demain. Une physique où les particules auront la forme de cordes vibrantes, infiniment minuscules, et où il sera peut-être possible – qui le sait ? – de faire un trou dans la trame de l'espace-temps pour se rendre d'un endroit à un autre – dans le présent, le passé ou le futur...
- Nombre de pages de l'édition imprimée480 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurRobert Laffont
- Date de publication21 septembre 2000
- Dimensions15.3 x 2.4 x 24 cm
- ISBN-102221090659
- ISBN-13978-2221090657
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Description du produit
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Aux dernières nouvelles, brillamment apportées ici par le physicien américain Brian Greene, l'un des acteurs de cette recherche, les trois forces se seraient trouvées unifiées en une seule au moment du big-bang, quand l'énergie était telle qu'aucune particule stable ni aucune matière n'existaient encore. Le problème, avec des théories aussi spéculatives que cette "grande unification", c'est que l'expérimentation est quasiment impossible et que les prédictions théoriques sont rares... Sauf si l'on admet, avec les tenants de la "théorie des cordes", la plus prometteuse, que les particules sont en réalité de minuscules cordes susceptibles, en vibrant, d'engendrer les particules connues, de même qu'une corde de guitare engendre différents sons. La théorie est osée... et belle. Elle fascinera les physiciens confirmés et les amateurs de bonne vulgarisation. --Arthur Hennessy
Un mot de l'éditeur
Quatrième de couverture
Mais, comme nous lavons dit, les physiciens aiment lélégance, léconomie des moyens. Depuis des décennies, ils ont donc cherché à rassembler la relativité et la mécanique quantique en une « théorie du tout ». Einstein lui-même sy est essayé et sest cassé les dents. Au point que ce rêve dune théorie ultime est devenu le Graal de la science moderne Or le problème est grave, car les deux théories semblent être incompatibles entre elles !
Aujourdhui, lunification de la gravité et de la mécanique quantique est en voie de réalisation : le résultat risque de bouleverser toutes nos conceptions. Cest cette découverte, appelée « théorie des cordes » et ses conséquences surprenantes , qui est le sujet de LUnivers élégant.
Brian Greene nous offre donc une visite guidée de la physique contemporaine et un aperçu saisissant de ce que sera la physique de demain. Une physique où les particules auront la forme de cordes vibrantes, infiniment minuscules, et où il sera peut-être possible qui le sait ? de faire un trou dans la trame de lespace-temps pour se rendre dun endroit à un autre dans le présent, le passé ou le futur
Biographie de l'auteur
À trente-cinq ans, Brian Greene, à qui l'on doit plusieurs découvertes fondamentales, est l'un des spécialistes mondiaux de la théorie des cordes. Il signe ici son premier ouvrage, et c'est un coup de maître, dans le droit-fil des grands savants vulgarisateurs de la science moderne. Il enseigne à l'université Columbia, à New York.
Détails sur le produit
- Éditeur : Robert Laffont; Robert Laffont édition (21 septembre 2000)
- Langue : Français
- Broché : 480 pages
- ISBN-10 : 2221090659
- ISBN-13 : 978-2221090657
- Poids de l'article : 700 g
- Dimensions : 15.3 x 2.4 x 24 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 283,698 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
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- 7,373 en Enquêtes (Livres)
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Dans ce livre de 600 pages passionnant de bout en bout, Brian Greene nous explique avec des mots et des exemples simples de nombreux faits et théories scientifiques et notamment la Relativité Restreinte. Maxwell et Einstein vont occulter Newton au fil des nouvelles découvertes. Ce livre est à la portée de tout ceux qui veulent que les secrets de l'univers leur soient révélés. Il n'est pas aisé d'en faire un commentaire sans en définir la substance, le titre n'étant pas nécessairement explicite.
Dans un premier temps, l'auteur nous explique pourquoi la théorie de la relativité générale d'Einstein est en antagonisme avec la théorie quantique de Planck car si l'on tente d'amalgamer ces deux théories, on aboutit à des aberrations. Et si une nouvelle théorie parvenait à faire le lien entre les deux ? C'est là qu'intervient la théorie des cordes vibrantes issue des travaux de Veneziano dans les années soixante.(Théorie des cordes bosoniques)
Avant d'aborder ce point, l'auteur nous décrit les propriétés interactives de la vitesse de la lumière, de l'espace et du temps .Et il va bien falloir pour aller plus loin se faire à l'idée que la vitesse spatiale d'un objet ne représente que la manière dont son trajet dans le temps est dévié. La véritable nature de l'espace et du temps nous est dissimulée par la lenteur de nos déplacements à l'échelle cosmique.
Newton mit en équation la gravitation mais fut incapable de dire ce qu'elle était réellement. La théorie de la relativité générale qui précise que la vitesse de la lumière est une limite infranchissable se heurta alors au fait que cette force de gravitation agit instantanément proportionnellement à la masse des corps en présence et en proportion inverse du carré de la distance qui les sépare. Dilemme ?
Il va falloir se faire à l'idée que l'espace réagit à la simple présence d'un objet doté d'une masse en se déformant. John Wheeler explique que « la masse exerce son emprise sur l'espace en lui dictant sa courbure ; l'espace exerce son emprise sur la masse en lui dictant son mouvement. » C'est lui , à la suite des travaux de Schwarzschild , qui dénomma trous noirs des étoiles si denses que la lumière ne peut s'en échapper.
Greene nous parle ensuite de la lumière et de sa nature corpusculaire mise en évidence dans l'effet photoélectrique , ainsi que de sa nature ondulatoire mise en évidence dans l'expérience des fentes de Young. Mais dans le monde de tous les jours, la valeur énorme de c (vitesse de la lumière) voile la véritable nature de l'espace et du temps, la petitesse de la constante de Planck occultant le caractère ondulatoire de la matière. Et les travaux de Max Born suivis de ceux de Niels Bohr nous apprennent que l'électron qui gravite autour du noyau n'est qu'une onde de probabilité !! Très étrange et inquiétant ! Non pas vraiment car au niveau macroscopique, ces phénomènes ne jouent pas contrairement a ce qui se passe au niveau microscopique. Passionnants également les travaux de Feynmann qui finalement nous explique que même si la théorie quantique nous fournit une description absurde de la nature, elle est en accord parfait avec toutes les expériences effectuées. Les relations d'incertitude de Heisenberg vont ajouter évidemment au trouble de la situation : une mesure plus précise de la position de l'électron implique forcément une plus grande imprécision dans la mesure de la vitesse et réciproquement. Alors qu'Einstein n'était pas tout à fait d'accord avec ses collègues, les travaux de John Bell et d'Alain Aspect ont montré qu'Einstein avait tort et que la nature est bien telle que Heisenberg l'a décrite.
Devant tant d'incongruités et d'incompatibilités, la théorie des cordes est venue apporter un peu d'unité. Les travaux de Michael Green et John Schwarz puis de Joël Scherk ont permis de modifier fondamentalement la description théorique des propriétés ultramicroscopiques de l'Univers, et de résoudre le conflit entre la théorie quantique et la relativité générale grâce à de petites cordes unidimensionnelles vibrantes d'une longueur voisine de la longueur de Planck (10 puissance moins 33 centimètres !!!) modélisant les particules élémentaires. De plus cette nouvelle théorie quantique inclut la gravitation. Les masses et les charges résultent de la façon précise dont vibrent les cordes dont la tension est colossale, 10 puissance 39 tonnes !!(Tension de Planck)
Cette nouvelle théorie au départ fut critiquée et souvent ignorée. Il a fallu pour Schwarz et Green attendre 1984 pour voir leurs travaux reconnus. La première révolution des supercordes intervint en 1986, la seconde en 1995 avec Edward Witten pour tenter de mettre au point les équations permettant de structurer cette théorie magnifique. La grande question qui se pose aux chercheurs est de savoir si cette théorie est vraiment ultime !
Il ne faut pas perdre de vue que l'ordre et la cohérence des mécanismes de la nature s'organisent au sein du principe de symétrie (de rotation et de jauge) de l'Univers. Scherck et Schwarz ont montré que la théorie quantique des cordes incluait des cordes vibrantes qui avaient une configuration de masse nulle et de spin 2 caractéristiques du graviton. A partir de ces deux idées, l'auteur aborde la notion complexe de supersymétrie, « qui peut être associée à un changement de point de vue dans une extension quantique de l'espace et du temps ». Les implications de cette théorie sont développées ensuite et s'avèrent capitales quant au concept unificateur. La théorie des supercordes en découle que Gliozzi, Scherk et Olive mirent au point, et que Wess et Zumino peaufinèrent en la nommant « Théorie quantique des champs supersymétriques » en l'appliquant aux champs de particules ponctuelles.
Ensuite, Greene nous décrit avec beaucoup de dextérité et de simplicité les travaux de Kaluza (1919) et Klein (1926) se rapportant aux dimensions cachées. Le simple fait d'imaginer qu'il existe au moins une dimension supplémentaire à notre univers a conduit Kaluza à réunir en ses équations nouvelles le théorie de la gravitation d'Einstein et la théorie de l'électromagnétisme de Maxwell. Mais il a fallu attendre une quarantaine d'années pour que ses travaux soient reconnus, puis repris et développé. En 1984 la théorie des cordes se révéla être le chaînon manquant requérant à elle seule neuf ou dix dimensions spatiales et une temporelle. Ces dimensions supplémentaires seraient entortillées dans un espace de Calabi-Yau dont il reste à déterminer la conformation exacte.
Greene nous fait comprendre peu à peu que cette si belle théorie des cordes , si ambitieuse et si esthétique pêche au niveau des signatures expérimentales. On n'en connaît pas encore bien le mode d'emploi et les investigations actuelles à la recherche de ces signatures nécessitent une percée technologique stupéfiante pour étudier la matière à l'échelle de Planck. Ce sera plutôt par des observations indirectes que des données expérimentales seront obtenues dans les années à venir.
Dans une quatrième partie, Greene aborde la structure de l'espace-temps et le concept de géométrie quantique qui contraint de renoncer à la géométrie riemannienne qui ne se révèle être vraie qu'aux grandes échelles. A la longueur de Planck, il faut abandonner Riemann et ses prédécesseurs Gauss, Lobatchevsky et Bolyai. Cette partie est assez ardue pour le profane il faut l'avouer car en abordant les distances subplanckiennes, on baigne dans l'abstraction complète . Quoiqu'il en soit, les travaux de Greene et Plesser confirmés par Candelas aboutissent à la découverte de la symétrie miroir de la théorie des cordes qui fournit un outil efficace pour comprendre à la fois la physique de la théorie des cordes et les mathématiques des espaces de Calabi-Yau. Et Greene d'évoquer la transition de flop et le déchirement possible de la structure de l'espace temps.
« La théorie des cordes offre ainsi un cadre unificateur à la physique et pourrait bien contribuer à forger une union au sein des mathématiques elles-mêmes . »(Greene)
Dans le chapitre qui suit, l'auteur aborde la question de l'inévitabilité que notre Univers soit comme il est. L'Univers aurait-il pu être différent ou non ? A voir !
Des résultats issus de la deuxième révolution des supercordes ont montré qu'en fait les cinq théories des cordes font partie d'un seul cadre unifié baptisé « théorie M ». Grâce à la « théorie des perturbations », et une approche perturbative qui en découle , la compréhension de la théorie des cordes s'est affinée .
L'application de la théorie des cordes à la compréhension de la structure des trous noirs en est encore à ses débuts. La singularité de l'espace-temps du centre des trous noirs et la question de la perte d'information lors du franchissement de l'horizon restent inexpliquées pour l'heure. Est évoquée ensuite la question de l'espace 'temps situé entre le Big Bang et le temps de Planck (10 puissance moins 43 secondes). Si on applique les équations de la relativité générale à cette région, on obtient que l'Univers devient toujours plus petit, plus chaud et plus dense. Au temps zéro, la taille de l'Univers est nulle, la température et la densité tendent vers l'infini : le modèle théorique standard du Big Bang s'effondre. C'est alors que la théorie des cordes va voler au secours de la relativité générale et de la théorie quantique. Et l'on parle de cosmologie des cordes : on n'en est encore qu'au tout début'mais avec de premiers résultats encourageants qui sauvent la théorie standard. L'idée de brisure de symétrie au temps de Planck invoquée par Brandenberger et Vafa est particulièrement intéressante.
En conclusion, « la cosmologie exerce sur nous une profonde fascination : en comprenant le comment du commencement de toute chose on espère approcher du pourquoi. » Pour exciter notre curiosité, l'auteur nous parle des multiunivers de Linde et du principe anthropique. Et finalement, les cordes de la théorie des cordes ne seraient-elles pas les brins de l'espace temps en état de cohérence ? Avant que ces cordes ne se mettent à vibrer de façon cohérente, n'auraient-elles pas connu un état incohérent où n'auraient existé ni le temps ni l'espace ?
Leibniz disait : « Pourquoi quelque chose plutôt que rien ? » Le nouveau formalisme issu de la théorie des cordes pourrait un jour lointain nous dire pourquoi . Mais comme le disait Einstein, est-il certain que l'on puisse tout expliquer ?
Un ouvrage fondamental relativement facile à lire même s'il n'explique pas tout .
C’est parfait pour de la TV mais ces longueurs sont inutiles dans un livre à connotation technique.
Ceci dit, Greene utilise les termes techniques adéquats qui cadrent le sujet et cet ouvrage est aussi facile à lire qu’un Hawking ou Kaku et plus facile qu'un Thorne ou Novikov.
Il faut simplement bien comprendre qu’il s’agit de théorie spéculative et que Greene ne confronte pas sa théorie à celles existantes ou concurrentes (LQG, etc) et ne fait donc pas son autocritique.
On sent aussi que la traduction n'est pas littérale, textuelle, et certaines tournures à la française ont supprimé ce qui faisait la spécificité du texte anglais. Ceci dit, bravo pour la traductrice car c’est un travail long et difficile en cette matière.
L’Univers élégant contient beaucoup de concepts techniques (à mon sens un peu plus que La réalité cachée) et il comprend même un glossaire, chose qui se fait rare.
Les références à l’histoire (relativité, quantique) sont précises et complètes et il décrit en détail les cordes, y compris sur plan historique, ce qui en fait aussi une référence.
Ce livre est illustré (pas autant qu'un Hawking et sa coquille de noix mais un peu plus que La réalité cachée).
Il est du gabarit des Weinberg, Kaku ou Hawking.
Vu le nombre de concepts évoqués, cet ouvrage nécessite idéalement le niveau bac et de pouvoir faire la différence entre une particule et un champ, la relativité et la quantique, entropie et information, symétrie et supersymétrie, même si Greene fait l’effort de rester non mathématique et disserte de ce fait assez bien.
Comparé à son autre livre La réalité caché, disons que L'univers élégant devrait être lu en deuxième lieu, mais c’est un détail car les deux ont beaucoup de points communs.
Enfin, pour ceux et celles qui ont encore de bons yeux, la version française de Robert Laffont est aussi écrite en caractère un peu plus petit que La réalité cachée (et l'ouvrage est aussi plus lourd), ce que je préfère, le texte paraissant plus condensé.
Dans tous les cas c'est un livre qui va vous faire vibrer et mérite de figurer dans toute bonne bibliothèque.
A lire sans modération.
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

The book was shipped with a defect on the cover. It is for a gift. It looks like I read the book before giving it. Not professionnal


Par contre, il a de très bonnes explications.

