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![Réponses à monsieur Frédéric Beigbeder au sujet du Livre Numérique: Écrivains = moutons tondus ? par [Stéphane Ternoise]](https://m.media-amazon.com/images/I/51SRPtCwXWL._SY346_.jpg)
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Réponses à monsieur Frédéric Beigbeder au sujet du Livre Numérique: Écrivains = moutons tondus ? Format Kindle
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Fin 2011 Stéphane Ternoise, essayiste a rédigé une analyse toujours et de plus en plus d'actualité. C'est aussi le rôle des écrivains de comprendre AVANT...
Monsieur Frédéric Beigbeder a choisi de devenir l'emblème de la lutte anti livres numériques. En publiant « Premier bilan avant l'apocalypse » chez Grasset de chez Lagardère et en s'exprimant de manière virulente sur le sujet, sur Europe 1 de chez Lagardère, monsieur Frédéric Beigbeder semble avoir un message à faire passer, aussi au nom du Groupe Lagardère détendeur du secteur Hachette Livre, omniprésent dans l'édition française.
En publiant, le 5 septembre 2011 « Ebooks en France : bienvenue Amazon Kindle... Edition : Plutôt AGAK (Amazon Google Apple Kobo) que Lagardère... », conscient de ma probable incapacité à promouvoir cet essai, j'avais prévu, lors du dépôt du manuscrit, quelques titres de rechange, dont cette réponse. Faute de place médiatique, plusieurs approches sont parfois nécessaires.
Cet ebook atteindra-t-il ainsi plus de regards ? Monsieur Frédéric Beigbeder refusant (logiquement) la numérisation de son pamphlet anti ebooks (mais les autres livres sont disponibles !)... qui sait ?... Cet ebook constitue plus une information sur les enjeux du livre numérique qu’une réponse minutieuse aux arguments assez insignifiants de monsieur Beigbeder.
Amazon Kindle est donc en France. Comme Itunes. Un vrai débarquement pour libérer les écrivains français du carcan de l'édition paralysée par des installés ? Et la vente des ebooks va tout doucement décoller pour atteindre un premier pic avec le Kindle cadeau de Noël high-tech-littéraire ?
Au niveau du catalogue en français, 35 000 œuvres furent diffusées sur le Kindle à son lancement. Cet ebook y fut mon quarantième. Représenter un millième du contenu en français d'Amazon est déjà une petite victoire pour un écrivain résolument indépendant depuis deux décennies.
Stéphane Ternoise
Contenu :
Réponses à monsieur Frédéric Beigbeder au sujet du Livre Numérique
Le grand problème de l’édition en France..
Edito 1 : Contexte Lagardère
Edito 2 : Manifeste du livre numérique
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- LangueFrançais
- ÉditeurJean-Luc PETIT Editions
- Date de publication14 octobre 2011
- Taille du fichier358 KB
Détails sur le produit
- ASIN : B005VZYIXO
- Éditeur : Jean-Luc PETIT Editions; 2e édition (14 octobre 2011)
- Langue : Français
- Taille du fichier : 358 KB
- Synthèse vocale : Activée
- Lecteur d’écran : Pris en charge
- Confort de lecture : Activé
- Word Wise : Non activé
- Pense-bêtes : Sur Kindle Scribe
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 152 pages
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

Stéphane Ternoise fut le plus jeune écrivain de nombreux salons du livre. C'était avant l'an 2000.
26 août 2022, son septième roman, "Là où nous allons. Soumissionie l’autre nom du pays".
Neuf ans après le sixième "Le roman de la révolution numérique".
Stéphane Ternoise est donc encore vivant. Il a eu 50 ans en 2018.
Stéphane Ternoise, romancier, essayiste, dramaturge, écrivain VRAIMENT INDEPENDANT, par convictions. Depuis plus 30 ans, déjà ! Ambition : une oeuvre. Et non se faire des amis utiles...
Combien de jours, de mois, d'années faudra-t-il à ce roman pour être reconnu ? Est-il possible d'être vraiment indépendant en France ?
Stéphane Ternoise a donc choisi l'indépendance à 20 ans, il en a payé le prix en écrivant dans un relatif anonymat.
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Pour moi, l'Ebook ne s'oppose pas au livre papier. Il en est le complément. Il y aura toujours de beaux livres à éditer, les livres pour enfants, les collections jeunesse, photos, livres d'art. C'est aux maisons d'éditions de comprendre les enjeux des différents secteurs.
Oui certains écrivains se tournent vers une publication via l'Ebook. Non, un manuscrit refusé par un éditeur n'est pas forcément mauvais, c'est le plus souvent qu'il " n'entre pas dans le catalogue " prévu pour l'année (et les suivantes). Catalogue dans lequel vous trouverez par ailleurs les confessions du dernier sportif ou " lofteur " en vue, et autres fantaisies plus télégéniques et plus rentables, Pourquoi pas ? Il en faut pour tous les goûts, nous dit-on. D'accord, mais alors qu'on ne prétende pas défendre la littérature en rejetant l'Ebook. Et que penser des 500/600 bouquins édités à la rentrée et dont la plupart finiront au pilon ? J'ai toujours aimé le papier, mais cela ne me gênerait en rien qu'on réserve cette industrie très polluante à des publications qui en valent la peine.
Oui, même si je la trouve imparfaite la liseuse m'est indispensable : dans mon sac, j'ai maintenant quelques centaines de livres pour quelques grammes seulement. Et les sommes que je ne dépense plus en bouquins de toutes sortes, je les dépense autrement : une part pour les éditions papier sur le dessin, la peinture, livres illustrés jeunesse, et l'autre part dans les Ebokks les moins chers, en attendant que baissent les prix des romans numériques, naturellement !