Renaud Camus

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À propos de Renaud Camus
Renaud Camus, écrivain, né en 1946, est l'auteur de plus de cent cinquante ouvrages (romans, essais, journaux intimes, églogues, élégies) publiés chez P.O.L, Fayard, de Roux et maintenant "Chez l'auteur".
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Livres de Renaud Camus
Langue :Livres en Français
par
Renaud Camus
13,99 €
Par délicatesses on doit entendre ici, bien entendu, subtilités, et de préférence agréables : finesses, élégances, raffinements. Mais on ne peut pas ne pas entendre aussi, et peut-être surtout, délicates questions, points sensibles, occasions de débats, peut-être même de disputes. En ce sens, c’est l’auteur d’un tel livre qui risque fort, le publiant, de se mettre en délicatesse avec ses contemporains...
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Le Changement de peuple
18 juin 2013
par
Renaud Camus
9,99 €
16,60 €
« J’apprends que le gouvernement estime que le peuple a “trahi la confiance du régime” et “devra travailler dur pour regagner la confiance des autorités”. Dans ce cas, ne serait-il pas plus simple pour le gouvernement de dissoudre le peuple et d’en élire un autre ? » — Bertolt Brecht, “La Solution”
La plaisanterie fameuse de Brecht est devenue pour nous une réalité. « Le changement c’est maintenant », promettait François Hollande : le changement de peuple, oui, c’est maintenant, et aussi le changement de civilisation qu’il implique nécessairement. Les socialistes ont suivi les conseils de Terra Nova et escompté du nouveau peuple et de ses voix, naïvement, la garantie d’être au pouvoir à jamais. Mais de cette substitution démographique les gouvernements de droite sont tous aussi responsables que la gauche, de même que le patronat et les intérêts mondialistes, qui ont besoin pour leurs affaires de l’“homme remplaçable”, désoriginé, déculturé, désaffilié, échangeable et délocalisable à merci.
« Le Grand Remplacement » était un recueil de conférences. L’auteur reprend ici les mêmes thèmes, les unifie, les réorchestre et les enrichit, en un essai d’une seule venue.
La plaisanterie fameuse de Brecht est devenue pour nous une réalité. « Le changement c’est maintenant », promettait François Hollande : le changement de peuple, oui, c’est maintenant, et aussi le changement de civilisation qu’il implique nécessairement. Les socialistes ont suivi les conseils de Terra Nova et escompté du nouveau peuple et de ses voix, naïvement, la garantie d’être au pouvoir à jamais. Mais de cette substitution démographique les gouvernements de droite sont tous aussi responsables que la gauche, de même que le patronat et les intérêts mondialistes, qui ont besoin pour leurs affaires de l’“homme remplaçable”, désoriginé, déculturé, désaffilié, échangeable et délocalisable à merci.
« Le Grand Remplacement » était un recueil de conférences. L’auteur reprend ici les mêmes thèmes, les unifie, les réorchestre et les enrichit, en un essai d’une seule venue.
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Broché
TVA incluse
par
Renaud Camus
15,36 €
« Pouvez-vous développer le concept de Grand Remplacement ?
— Oh, c’est très simple : vous avez un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, vous avez à sa place un ou plusieurs autres peuples. C’est la mise en application dans la réalité de ce qui chez Brecht paraissait une boutade, “changer de peuple”. Le Grand Remplacement, le changement de peuple, que rend seul possible la Grande Déculturation, est le phénomène le plus considérable de l’histoire de France depuis des siècles, et probablement depuis toujours. »
(Renaud Camus, entretien pour “Le Nouvel Observateur”)
La première édition de cet ouvrage, publiée chez David Reinharc en 2011, est aujourd’hui épuisée. On lui a ajouté ici trois inédits, dont “Discours d’Orange”. Le livre réunit désormais, donc, outre le bref entretien cité ci-dessus, six et non plus trois allocutions prononcées par Renaud Camus — la première, “Le Grand Remplacement”, à Lunel le 26 novembre 2010 ; la deuxième, “La Nocence, instrument du Grand Remplacement”, à Paris le 18 décembre suivant, lors des Assises sur l’islamisation ; la troisième, “Que peut être une pensée libre aujourd’hui ?”, à l’Assemblée nationale, salle Lamartine, le 6 janvier 2011, à l’occasion des États généraux de l’Indépendance ; la quatrième, “L’Homme remplaçable”, devant France-Israël le 8 mars 2012 ; la cinquième, une adresse à Marine Le Pen, lors du congrès fondateur du Siel à la Maison de la Chimie, le 24 mars 2012 ; enfin le “Discours d’Orange”, à l’invitation de la Convention Identitaire, au Palais des Princes de la ville du Vaucluse, le 4 novembre 2012.
— Oh, c’est très simple : vous avez un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, vous avez à sa place un ou plusieurs autres peuples. C’est la mise en application dans la réalité de ce qui chez Brecht paraissait une boutade, “changer de peuple”. Le Grand Remplacement, le changement de peuple, que rend seul possible la Grande Déculturation, est le phénomène le plus considérable de l’histoire de France depuis des siècles, et probablement depuis toujours. »
(Renaud Camus, entretien pour “Le Nouvel Observateur”)
La première édition de cet ouvrage, publiée chez David Reinharc en 2011, est aujourd’hui épuisée. On lui a ajouté ici trois inédits, dont “Discours d’Orange”. Le livre réunit désormais, donc, outre le bref entretien cité ci-dessus, six et non plus trois allocutions prononcées par Renaud Camus — la première, “Le Grand Remplacement”, à Lunel le 26 novembre 2010 ; la deuxième, “La Nocence, instrument du Grand Remplacement”, à Paris le 18 décembre suivant, lors des Assises sur l’islamisation ; la troisième, “Que peut être une pensée libre aujourd’hui ?”, à l’Assemblée nationale, salle Lamartine, le 6 janvier 2011, à l’occasion des États généraux de l’Indépendance ; la quatrième, “L’Homme remplaçable”, devant France-Israël le 8 mars 2012 ; la cinquième, une adresse à Marine Le Pen, lors du congrès fondateur du Siel à la Maison de la Chimie, le 24 mars 2012 ; enfin le “Discours d’Orange”, à l’invitation de la Convention Identitaire, au Palais des Princes de la ville du Vaucluse, le 4 novembre 2012.
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Le mot "race"
12 janv. 2018
par
Renaud Camus
4,16 €
Il s’agit sans doute du mot le plus contesté, partant le plus exposé, de la langue française au début du XXIe siècle. Le seul fait de le prononcer ou de l’écrire peut valoir billet sans retour pour les pires Limoges, Guantanamos ou Sibéries qui soient.
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Le Département de la Lozère (Fiction)
26 août 2010
par
Renaud Camus
10,99 €
15,45 €
Renaud Camus part pour la Lozère, afin d'écrire une sorte de guide de ce département qu'il aime, et qui bat tous les records à l'envers. Il est toujours le moins. Et plutôt qu'une succession de lieux remarquables, il est pur espace, non lieu. On n'y va pas pour y voir ceci ou cela, on y va pour y éprouver, on y va pour y être. Et comme tout plus être commence nécessairement par l'expérience d'un moins être, voire d'un non être, la Lozère, ce nulle part, territoire par essence de la géographie négative, est l'occasion ou jamais d'être positivement Personne, à l'instar d'Ulysse, le voyageur. Sur les ruines de Peyre, en effet, il n'est pas jusqu'au nom qui ne lâche : il ne tient pas plus à vous que vous ne tenez à lui, et n'importe quel autre, pourvu qu'il vous plaise un moment et ne soit à personne, lui non plus, fera l'affaire aussi bien jusqu'à la prochaine fois. Ces histoires de nom, c'est toujours un roman, par en dessous. Rien n'empêche qu'un roman, cela dit, soit très scrupuleusement un guide, avec son index des noms, même.
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NON. Journal 2013 (Journal de Renaud Camus t. 3)
7 janv. 2014
par
Renaud Camus
25,59 €
Ce volume du journal de Renaud Camus pour l’année 2013, « NON », est le premier qui soit publié par lui-même, en “auto-édition”, après huit autres parus aux éditions P.O.L (1986-1993) et dix-neuf aux éditions Fayard (1994-2012) — sans compter le « Journal de “Travers” » (1976-77, Fayard, 2007). Ce tome-ci est sans doute aussi le plus épais, la règle de l’entrée quotidienne n’ayant subi cette fois aucune exception, et d’autant moins que chacune était mise en ligne dès le lendemain pour les abonnés de la version illustrée, sur la Toile.
Le titre fait référence principalement au mouvement fondé par Renaud Camus en septembre 2013, le NON, pour regrouper les Français et les Européens qui refusent ce qu’il appelle le Grand Remplacement, le changement de peuple et de civilisation. Mais la chose publique est bien loin, comme d’habitude, d’être le seul objet débattu entre ces pages, qui restent celles d’un journal intime, avec ses états du ciel et ses états d’âme, ses petites misères, ses marottes, ses curiosités et ses exaltations diverses. Si tant est que l’auteur soit bien un homme politique — ce qui reste à débattre, d’évidence — il n’oublie pas qu’après un long détour la “charge du réel”, selon ses propres dires, revient à la littérature.
Le titre fait référence principalement au mouvement fondé par Renaud Camus en septembre 2013, le NON, pour regrouper les Français et les Européens qui refusent ce qu’il appelle le Grand Remplacement, le changement de peuple et de civilisation. Mais la chose publique est bien loin, comme d’habitude, d’être le seul objet débattu entre ces pages, qui restent celles d’un journal intime, avec ses états du ciel et ses états d’âme, ses petites misères, ses marottes, ses curiosités et ses exaltations diverses. Si tant est que l’auteur soit bien un homme politique — ce qui reste à débattre, d’évidence — il n’oublie pas qu’après un long détour la “charge du réel”, selon ses propres dires, revient à la littérature.
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Du sens (Fiction)
14 juin 2012
par
Camus Renaud
17,99 €
25,35 €
La question qu'ouvre ce livre ramène nécessairement à l'inépuisable dialogue entre Cratyle et Hermogène, chez Platon. Cratyle s'attachant au sens des mots, tel qu'il a été d'après lui défini une fois pour toutes (ainsi dirait-on toujours, aujourd'hui, que 'formidable' ne devra jamais dire qu''effrayant', 'redoutable', ou que 'scabreux' doit définitivement signifier, comme à son origine, 'escarpé', 'abrupt', 'raboteux'). Hermogène, lui, plaide pour la convention, le contrat, l'évolution, le glissement de sens à partir du moment où un accord général se fait. Globalement on peut dire qu'Hermogène a raison, de plus en plus raison, et que Cratyle a tort, de plus en plus grand tort. L'ennui est que Cratyle n'a pas tout à fait tort, d'une part, et que son tort, qui pis est, se révèle souvent plus séduisant, plus riche, plus littéraire que la raison d'Hermogène – de sorte qu'on n'échappe guère à la tension maintenue, entre les positions de l'un et de l'autre ; ni n'arrive-t-on seulement à le souhaiter vraiment. Indéfiniment vibrante, la corde tendue par leur échange définit un grand arc où n'a pas de mal à se loger une discussion détaillée, point par point, ligne à ligne, de ce qui fut en son temps 'l'affaire Renaud Camus'.
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Les Inhéritiers
19 mars 2013
par
Renaud Camus
14,99 €
19,00 €
L’origine de cet ouvrage est une conférence prononcée en anglais par l’auteur dans le Playfair Library Hall de l’université d’Édimbourg, le 13 avril 2012, au cours d’une soirée d’échanges avec l’essayiste anglais Roger Scruton. Le titre était alors “Bourdieu cul par-dessus tête” (Bourdieu upside down). Cette allocution, on l’a beaucoup augmentée depuis lors, mais on lui a laissé sa structure primitive.
Si l’objectif poursuivi est l’égalité à tout prix, et l’assurance donnée à la majorité de la population que tout est fait pour qu’elle ne soit lésée en rien, culturellement, qu’elle ne subit aucune discrimination intellectuelle, que ses valeurs et ses goûts sont bien mis sur le même plan que ceux de la défunte “classe cultivée”, alors il faut dépouiller de leur privilège les privilégiés de la culture, déshériter les héritiers, défavoriser les favorisés pour les mettre à égalité avec les défavorisés.
Si en revanche l’objectif est la culture, les progrès de la civilisation, la diffusion de la connaissance et de l’amour de l’art au sein de la population dans son ensemble, en ce cas il faut mettre Bourdieu cul par-dessus tête, garder le tableau exact qu’il a dressé de la situation dans les salles de classe et faire exactement le contraire de ce qu’ont accompli ses disciples — il faut protéger par tous les moyens les héritiers comme étant le bien le plus précieux de la nation, tout faire pour renforcer et pour accroître leur héritage et veiller à ce qu’ils en fassent largement profiter autour d’eux, par capillarité.
Si l’objectif poursuivi est l’égalité à tout prix, et l’assurance donnée à la majorité de la population que tout est fait pour qu’elle ne soit lésée en rien, culturellement, qu’elle ne subit aucune discrimination intellectuelle, que ses valeurs et ses goûts sont bien mis sur le même plan que ceux de la défunte “classe cultivée”, alors il faut dépouiller de leur privilège les privilégiés de la culture, déshériter les héritiers, défavoriser les favorisés pour les mettre à égalité avec les défavorisés.
Si en revanche l’objectif est la culture, les progrès de la civilisation, la diffusion de la connaissance et de l’amour de l’art au sein de la population dans son ensemble, en ce cas il faut mettre Bourdieu cul par-dessus tête, garder le tableau exact qu’il a dressé de la situation dans les salles de classe et faire exactement le contraire de ce qu’ont accompli ses disciples — il faut protéger par tous les moyens les héritiers comme étant le bien le plus précieux de la nation, tout faire pour renforcer et pour accroître leur héritage et veiller à ce qu’ils en fassent largement profiter autour d’eux, par capillarité.
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L'homme remplaçable
19 juin 2012
par
Renaud Camus
2,99 €
Les deux thèmes les plus volontiers mis en avant par Renaud Camus et par son parti de l’In-nocence sont sans doute le Grand Remplacement, d’une part — l’immigration de masse, la contre-colonisation, le changement de peuple —, et d’autre part l’effondrement des systèmes scolaires, le désastre de l’École. Dans cette conférence prononcée à Paris le 8 mars 2012 à l’invitation de l’association France-Israël, Renaud Camus montre comment ces deux thèmes sont en fait étroitement liés. L’enseignement de l’oubli, la Grande Déculturation, l’industrie de l’hébétude, sont les conditions et les instruments de la production de cet homme remplaçable, désaffilié, dépaysé, déshumanisé, délocalisable à merci, hors-sol, qu’exige le principe post-taylorien de l’interchangeabilité générale. On ne répare plus, on ne change même plus les pièces, on change et on échange la chose elle-même, l’homme.
TVA incluse
par
Renaud Camus
0,00 €
Ce livre, représentant trois mois du journal de l’auteur pour l’année 2000, a été publié une première fois sur papier en novembre 2000, au cœur de “l’affaire Renaud Camus”. Au même moment l’auteur en installait une version électronique sur son site Internet ; cette version en accès libre l’est restée continûment depuis lors. Le présent livre électronique en reprend le texte, à l’exception de la postface et des annexes — articles de presse, textes de pétitions, correspondance, etc., éléments qui demeurent consultables sur le site Internet de l’auteur.
« Corbeaux » couvre les trois mois les plus intenses de “l’affaire Renaud Camus”. Sans se poser comme une “réponse”, ces pages d’une exceptionnelle tenue constituent un élément décisif du débat : elles donnent en effet à lire la manière dont cette crise fut vécue, de l’intérieur, au jour le jour, par le premier intéressé.
En 2002 est paru « Du Sens » aux éditions P.O.L., livre proposant « une discussion détaillée, point par point, ligne à ligne, de ce qui fut en son temps l’“affaire Renaud Camus” », et répondant sur le fond aux questions soulevées par “l’affaire”. Le même éditeur a publié en 2003 le journal complet de l’année 2000 sous le titre « K. 310 ».
Le journal de l’auteur est publié au jour le jour, à compter du 1er janvier 2013, sur son site Internet.
« Corbeaux » couvre les trois mois les plus intenses de “l’affaire Renaud Camus”. Sans se poser comme une “réponse”, ces pages d’une exceptionnelle tenue constituent un élément décisif du débat : elles donnent en effet à lire la manière dont cette crise fut vécue, de l’intérieur, au jour le jour, par le premier intéressé.
En 2002 est paru « Du Sens » aux éditions P.O.L., livre proposant « une discussion détaillée, point par point, ligne à ligne, de ce qui fut en son temps l’“affaire Renaud Camus” », et répondant sur le fond aux questions soulevées par “l’affaire”. Le même éditeur a publié en 2003 le journal complet de l’année 2000 sous le titre « K. 310 ».
Le journal de l’auteur est publié au jour le jour, à compter du 1er janvier 2013, sur son site Internet.
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Le Château de Seix: Journal 1992 (Fiction)
30 mai 2013
par
Renaud Camus
18,99 €
26,30 €
Dans le présent volume du Journal de Renaud Camus, nous suivrons le diariste dans ses tribulations immobilières (vente et achat), son établissement dans le Gers au désormais fameux château de Plieux, et ses voyages (Italie, Espagne). Nous nous fâcherons avec lui de l’état des mœurs, du peu de considération dans laquelle est tenu l’art, et nous nous indignerons des mauvaises manières de nos contemporains. Nous connaîtrons tout de ses mésaventures éditoriales. Mais nous nous exalterons à la vision de telle perspective, à la douceur de telle lumière, au souvenir de tel moment, à celui de telle œuvre. Et nous constaterons, comme lui, que, face au temps qui ne cesse de couler et de nous emporter, cette entreprise du Journal est le seul rempart possible.
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Le Département de l'Hérault (Essais)
12 déc. 2014
par
Renaud Camus
12,99 €
18,55 €
Le département de l'Hérault n'est pas ce que l'on croit. En fait il en est peu, parmi les départements français, qui ressemblent moins à leur image. On pense à lui, on voit des plaines viticoles et des plages. Pour la plus grande part, cependant, il ressemble plus à la Lozère qu'à la Côte-d'Azur. Entre Cap-d'Agde et Saint-Jean-de-Buèges, entre Lunel et Saint-Pons-de-Thomières, il ne ressemble même pas à lui-même. Et ce malentendu accroît sa solitude. Or, s'il est un des conservatoires de plusieurs civilisations à leur meilleur, et le laboratoire d'une ou deux autres – pas forcément très engageantes –, la solitude possède en lui nombre de ses hauts lieux. Mais elle est peut-être une civilisation, elle aussi ?
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