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Une révolution du management - le modèle Google Broché – 11 avril 2008
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Description du produit
Extrait
Rebels with a cause
On a souvent raconté l'histoire à la Horatio Algers de Larry Page et Sergeï Brin, ces deux jeunes étudiants qui se sont rencontrés, au printemps 1995, à Stanford, qui se mettent rapidement à travailler ensemble et choisissent comme sujet de thèse le classement des résultats obtenus lorsque l'on interroge un moteur de recherche. Leur histoire ressemble, par bien des cotés à celle de tous les entrepreneurs, Steve Jobs et Bill Gates, Henry Ford et Alfred Sloan, Louis Renault ou Marcel Dassault. Mais, plus peut-être que celle de leurs prédécesseurs, leur histoire met en évidence le rôle du milieu, du contexte.
Des qualités d'entrepreneurs
Leur talent, leur charisme sont indéniables. Ils ont ces qualités qui font les entrepreneurs et qu'ont décrit Joseph Schumpeter et, bien avant lui, Jean-Baptiste Say, cet économiste qui, fort de son expérience à la tête d'une entreprise textile a amorcé, au tout début de la révolution industrielle, une théorie de l'entrepreneur basée sur son expérience personnelle. Ils savent convaincre leur entourage de les suivre là où ils veulent aller. Ils ont l'arrogance des visionnaires. Ils sont intelligents, le savent et ne s'en cachent pas. Ils ont de l'ambition, faire fortune ne leur suffit pas, ils veulent aussi changer le monde. Ils sont passionnés par ce qu'ils font. Et si l'on voit aujourd'hui en eux surtout des entrepreneurs qui ont réussi, ce n'est pas la promesse de la fortune qui les a amenés à se lancer dans l'aventure, mais la volonté d'améliorer les systèmes de recherche sur le durable de travaux de recherche. Si les universités jouent un rôle si important dans le développement des clusters technologiques, c'est qu'elles forment des professionnels qui peuvent aller travailler dans les entreprises mais c'est aussi qu'elles donnent gratuitement accès aux travaux de leurs chercheurs.
Cette tradition leur a, enfin, enseigné des valeurs et des convictions. Elle leur a, notamment, appris la confiance dans les machines et dans les automatismes qui est au coeur de leur modèle d'entreprise. On y reviendra un peu plus loin...
Un milieu innovant
Parlant des difficultés économiques de la France, George Bush a un jour expliqué que le français n'avait pas de mot pour dire entrepreneur. C'était une bourde (une de plus) puisque le mot entrepreneur vient directement du français, que le premier théoricien de l'entrepreneuriat, Jean-Baptiste Say, est lui-même français, mais au-delà de la bévue, il y avait dans les propos du président une intuition juste : les entrepreneurs naissent et se développent là où il y a d'autres entrepreneurs pour les accueillir et les aider dans leurs premiers pas.
Or la Californie est, de ce point de vue, une exception. On y trouve plus de «sériai entrepreneurs» au kilomètre carré que partout ailleurs dans le monde. C'est un de ces entrepreneurs, Andy Bechtolsheim, qui, à leurs débuts, leur a avancé leurs premiers capitaux, à une époque où ils en manquaient cruellement. La petite histoire veut qu'il leur ait fait un chèque de 100 000$ après seulement quelques heures de conversation alors même qu'ils n'avaient pas encore déposé les statuts de leur entreprise. Mais en signant ce chèque, le fondateur de Sun, connu pour avoir créé plusieurs entreprises informatiques, a fait beaucoup plus que leur avancer de l'argent : il leur a donné de la crédibilité, ce que n'aurait jamais fait la même somme offerte par un oncle généreux.
On a souvent raconté l'histoire à la Horatio Algers de Larry Page et Sergeï Brin, ces deux jeunes étudiants qui se sont rencontrés, au printemps 1995, à Stanford, qui se mettent rapidement à travailler ensemble et choisissent comme sujet de thèse le classement des résultats obtenus lorsque l'on interroge un moteur de recherche. Leur histoire ressemble, par bien des cotés à celle de tous les entrepreneurs, Steve Jobs et Bill Gates, Henry Ford et Alfred Sloan, Louis Renault ou Marcel Dassault. Mais, plus peut-être que celle de leurs prédécesseurs, leur histoire met en évidence le rôle du milieu, du contexte.
Des qualités d'entrepreneurs
Leur talent, leur charisme sont indéniables. Ils ont ces qualités qui font les entrepreneurs et qu'ont décrit Joseph Schumpeter et, bien avant lui, Jean-Baptiste Say, cet économiste qui, fort de son expérience à la tête d'une entreprise textile a amorcé, au tout début de la révolution industrielle, une théorie de l'entrepreneur basée sur son expérience personnelle. Ils savent convaincre leur entourage de les suivre là où ils veulent aller. Ils ont l'arrogance des visionnaires. Ils sont intelligents, le savent et ne s'en cachent pas. Ils ont de l'ambition, faire fortune ne leur suffit pas, ils veulent aussi changer le monde. Ils sont passionnés par ce qu'ils font. Et si l'on voit aujourd'hui en eux surtout des entrepreneurs qui ont réussi, ce n'est pas la promesse de la fortune qui les a amenés à se lancer dans l'aventure, mais la volonté d'améliorer les systèmes de recherche sur le durable de travaux de recherche. Si les universités jouent un rôle si important dans le développement des clusters technologiques, c'est qu'elles forment des professionnels qui peuvent aller travailler dans les entreprises mais c'est aussi qu'elles donnent gratuitement accès aux travaux de leurs chercheurs.
Cette tradition leur a, enfin, enseigné des valeurs et des convictions. Elle leur a, notamment, appris la confiance dans les machines et dans les automatismes qui est au coeur de leur modèle d'entreprise. On y reviendra un peu plus loin...
Un milieu innovant
Parlant des difficultés économiques de la France, George Bush a un jour expliqué que le français n'avait pas de mot pour dire entrepreneur. C'était une bourde (une de plus) puisque le mot entrepreneur vient directement du français, que le premier théoricien de l'entrepreneuriat, Jean-Baptiste Say, est lui-même français, mais au-delà de la bévue, il y avait dans les propos du président une intuition juste : les entrepreneurs naissent et se développent là où il y a d'autres entrepreneurs pour les accueillir et les aider dans leurs premiers pas.
Or la Californie est, de ce point de vue, une exception. On y trouve plus de «sériai entrepreneurs» au kilomètre carré que partout ailleurs dans le monde. C'est un de ces entrepreneurs, Andy Bechtolsheim, qui, à leurs débuts, leur a avancé leurs premiers capitaux, à une époque où ils en manquaient cruellement. La petite histoire veut qu'il leur ait fait un chèque de 100 000$ après seulement quelques heures de conversation alors même qu'ils n'avaient pas encore déposé les statuts de leur entreprise. Mais en signant ce chèque, le fondateur de Sun, connu pour avoir créé plusieurs entreprises informatiques, a fait beaucoup plus que leur avancer de l'argent : il leur a donné de la crédibilité, ce que n'aurait jamais fait la même somme offerte par un oncle généreux.
Présentation de l'éditeur
La seconde dition est largement actualise compte tenu de la rapidit de ce march, de l'arrive de nouveaux acteurs comme Facebook et de la ractivit de Google. Plus pratique, le livre est enrichi dun cadre conceptuel bas sur les 12 mthodes de management iconoclastes de Google, applicables tout type de socit.
Depuis 1998, Google innove avec succs au niveau technologique, ce qui est bien connu, mais galement dans ses pratiques de management, ce qui lest beaucoup moins. Ce livre dvoile, en premire mondiale, ces nouvelles mthodes de management du 21me sicle qui rvolutionnent aussi bien le marketing que les ressources humaines, lorganisation comme la technologie. Un livre pour tous les cadres, les managers, les tudiants car ces mthodes seront vite appliques dans tous les autres secteurs.
Aucun appareil Kindle n'est requis. Téléchargez l'une des applis Kindle gratuites et commencez à lire les livres Kindle sur votre smartphone, tablette ou ordinateur.
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Détails sur le produit
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