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La Peine du bourreau Poche – 1 octobre 2020
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- Nombre de pages de l'édition imprimée250 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurTAURNADA
- Date de publication1 octobre 2020
- Dimensions11 x 1.6 x 18 cm
- ISBN-102372580787
- ISBN-13978-2372580786
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Description du produit
Quatrième de couverture
McCoy est "bourreau" au Texas. Après 42 ans passés dans le couloir de la mort, il reçoit la visite officieuse du Gouverneur Thompson qui doit se prononcer sur la grâce du condamné numéro 0451.
Il ne leur reste que quatre heures pour faire revivre les souvenirs de McCoy avant l'injection létale.
Quatre heures dans l'isolement de la prison de Walls.
Quatre heures pour cinq crimes qui déchaînent les passions.
Quatre heures pour ce qui pourrait être la dernière exécution de McCoy.
Quatre heures pour jouer le sort d'un homme.
Un thriller psychologique aussi troublant que fascinant : une immersion sans concession dans le couloir de la mort et ses procédures d'exécution.
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : TAURNADA (1 octobre 2020)
- Langue : Français
- Poche : 250 pages
- ISBN-10 : 2372580787
- ISBN-13 : 978-2372580786
- Poids de l'article : 160 g
- Dimensions : 11 x 1.6 x 18 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 152,440 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 10,724 en Romans policiers (Livres)
- 10,981 en Thrillers (Livres)
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À propos de l'auteur

Passionnée de littérature depuis l'adolescence, Estelle Tharreau parcourt les genres, les époques et les pays au fil des auteurs qu'elle rencontre. De cet amour de la littérature est née l'envie d'écrire. Elle vit actuellement en Franche-Comté où elle partage son temps entre sa famille et l'écriture.
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Un huis clos. Trois hommes et quatre heures pendant lesquelles se joue la vie d'un homme : le condamné à mort, Ed (Ed 0451) ; le gouverneur de L'État du Texas, le seul homme pouvant le gracier et le vieux bourreau, McCoy, pour la dernière exécution avant sa retraite, narrant à celui-ci les exécutions effectuées durant sa longue carrière.
Le condamné 0451 se trouve dans le couloir de la mort depuis dix ans en conséquence de la commission de cinq assassinats. Son exécution est imminente. Ed n'a jamais voulu rien dire sur les motivations de ses actes. C'est pourquoi, le gouverneur de l'État du Texas, fait exceptionnel, exige de rencontrer son bourreau avant de se prononcer sur une grâce éventuelle.
Né dans une famille de texans ségrégationnistes, racistes et favorables à la peine de mort, dans laquelle il n'a jamais trouvé sa place, regardé comme un raté, brutalisé, Ed, obsédé par l'idée de plaire à son père et à son frère vétérans de guerres, manifeste à son tour des dispositions xénophobes et violentes.
Plus tard, il se marie et se libère du mépris familial. Un jour, il vient au secours d'une petite fille noire victime de brutalités racistes. Pour autant, depuis cet instant, Ed s'est-il transformé en un homme meilleur, s'est-il affranchi du poids de sa famille et de son éducation ? Un fait est certain - par cette action, il s'est abouché avec son destin : en effet, Ed a encore assassiné cinq personnes.
Un huis clos : quatre heures pour cinq crimes qui provoquent de violentes manifestations aux abords de la prison et passionnent l'opinion publique.
Aussi, le directeur de l'établissement pénitentiaire presse le gouverneur de se décider rapidement sur la grâce éventuelle du condamné. Pour autant, jusqu'à la dernière minute, le représentant de l'État du Texas ne quitte pas la cellule. Il écoute McCoy qui, telle Shéhérazade dans le comte des « mille et une nuit », égrène les récits des exécutions, les plus effrayantes, monstrueuses et injustes, qu'il a accomplies durant sa longue fonction de bourreau.
Ed demeure invariablement silencieux jusqu'au bout, tout comme il l'a toujours été à propos des motivations de ses assassinats.
À minuit, à l'abri des manifestants, le gouverneur quitte la cellule par une porte dérobée, puis le couloir de la mort. Dans la salle d'exécution, Ed est allongé et sanglé ; il est prêt pour recevoir l'injection. Mais le téléphone dont la ligne est reliée au gouverneur retenti. Celui-ci souhaite personnellement annoncer la décision qu'il a prise…
« La peine du bourreau » (éditions Taurnada) est le cinquième ouvrage d'Estelle Tharreau après « Orages (2016), « L'impasse » (2017), « de la terre dans la bouche » (2018) et « Mon ombre assassine » (2019).
Le roman d'Estelle THARREAU, incontestablement un thriller psychologique de grande qualité littéraire, n'est ni un plaidoyer en faveur ou contre la peine de mort, ni un témoignage sur le système judiciaire pénal en vigueur aux États-Unis d'Amérique ou, encore moins, un témoignage sur le racisme in genere. Mais force est de constater que dans le monde occidental démocratique, les États-Unis est (1) le seul État où, à notre connaissance, la peine de mort est toujours en vigueur (2). L'auteur ne se départit, à aucun moment, d'une objectivité sans réserve. Dans la discussion, entre le gouverneur et le bourreau McCoy, où vont s'affronter, durant quatre heures, la justice, d'une part - Ed est un assassin sanguinaire, il a été loyalement et démocratiquement condamné, sa peine doit être exécutée – et, d'autre part, la morale - quelles ont été les motivations du condamné ?, le gouverneur, pressé par ses électeurs de refuser la grâce, au risque de perdre les élections et les troubles causés par les partisans des deux camps à l'ordre public, veut, toutefois, comprendre les raisons du mutisme d'Ed 0451 avant de prendre sa décision.
Malgré le silence d'Ed, et grâce à l'utilisation des divers modes de narrations mis à la disposition de l'auteur et à l'alternance des chapitres, le gouverneur connaitra aussi bien la vie du condamné que les exécutions commises - les plus effroyables et rocambolesques, injustes et injustifiées, et souvent ratées (volontairement ?) accomplies par le bourreau McCoy.
Mais si l'auteur n'entend pas se prononcer pour ou contre la peine de mort aux États-Unis, - mais présenter la question toujours très actuelle - c'est parce qu'elle est toujours en vigueur, au premier chef au niveau fédéral, et que la question des injustices sociales et raciales face à celle-ci est posée, en conséquence, avec autant d'acuité qu'ailleurs pour n'importe quelle autre question sociétale. Il est vrai que ce pays symbolise, plus que nul autre, le territoire de la puissance extrême des médias, des réseaux sociaux, de l'opinion publique et, par voie de conséquence, de son cortège de mauvaises influences. Bien entendu, la justice n'est pas épargnée par l'hydre des complots et des extrêmes de tous bords.
Enfin, le roman est admirablement bien bâti. Aussi bien au fond, plus particulièrement le personnage d'Ed dont l'évolution est un modèle de réussite, à savoir celui qui tire les leçons de ses expériences passées.
Par surcroit le livre est très bien écrit ; ses qualités littéraires sont indéniables. le suspense n'est pas absent du récit ; tout au long du livre l'auteur ménage une angoisse psychologique remarquable avec une fin qui réserve une surprise aussi inattendue qu'émouvante.
Je conseille ce livre sans aucune réserve comme tous ceux de cette maison d'édition de très grande qualité.
Michel
1) J'emploie volontairement le singulier (« Les États-Unis est ») dans la mesure où cette nation, au niveau fédéral, se considère (est) suffisamment intégrée pour être une et non la somme des États fédérés qui la composent, malgré leur autonomie. C'est Lincoln, dans son discours en 1862, qui décida de recourir au singulier. Depuis, seules les mauvaises traductions emploient le pluriel.
2) La peine de mort aux États-Unis est en vigueur et appliquée au niveau de l'État fédéral. Aussi tout crime fédéral, passible de la peine de mort, peut être prononcée et exécutée dans tout État fédéré, même si dans ce dernier, la peine de mort est abolie ou n'est plus effective.
Le roman ce passe aux USA, qui curieusement alors qu’il existe dans leur code pénal, la réclusion perpétuelle sans possibilité de remise de peines, la peine de mort est toujours présente, avec les polémiques qu’elle engendre
Un sacré débat sur la peine de mort, ou plutôt sur son application.
Quand un gouverneur, pour accorder ou non sa grâce à un condamné, se fait raconter par le menu les dessous du travail de celui qui donne la mort.
Cinq, dix fois, on se dit qu’il va gracier. Puis on change d’avis, au gré de la lecture. Estelle Tharreau nous balade dans le doute avec brio. Comme une balle de ping pong, on passe de la grace à la condamnation Et la ville, les réseaux sociaux, les médias qui attendent la décision. Et l’ambiance qui se détériore. Et ce pauvre gouverneur, qui au lieu d’être soulagé, est de plus en plus perturbé.
Tot ça pour arriver à la décision finale qui est …. Mais je ne vous le dirai pas. Faites un effort ( qui n’en est pas un en fait), et lisez ce superbe thriller.
Résultat mitigé pour moi mais je comprends les avis précédents.
Pas vraiment un thriller à mes yeux.

Résultat mitigé pour moi mais je comprends les avis précédents.
Pas vraiment un thriller à mes yeux.


parfaitement bien écrit
j'aime beaucoup cette auteur
on ressort secoué de cette lecture, avec des tas de questions...
un livre qui ne peut pas laissé indifférent
lisez - le !!!